Kayay’n’Run le samedi 19 juin 2021

Cette année encore, le club de Canoë Kayak de Décines Meyzieu (CKDM) vous invite à la 3ème édition du Kayak’n’run.

Kayak’n’Run by CKDM, c’est une course à pied de 5km suivi d’un parcours de 3km en kayak. Venez défier vos amis sur cette course atypique à la périphérie de Lyon. Parcours 100 % vert, 5 Km de course à pied au départ du club de kayak, course sur l’anneau bleu.

Embarcation en kayak au niveau du pont d’Herbens, puis 3 Km de kayak sur le canal de Jonage jusqu’au club de kayak, lieu d’arrivée. Tout cela sans rencontrer une seule voiture, que demandez de plus ? Lors de ce biathlon, 3 courses vous seront proposées, une course adulte, une course de groupe (6 personnes) et une course -18 ans (format différent, 3km de course et 1 km de kayak).

Tout le monde est le bienvenu, venez avec vos amis, votre famille et tous ceux prêt à partager un agréable moment. Alors, retenez cette date pour venir profiter du soleil au bord et sur le grand large, tout ça dans une ambiance festive, car c’est cela l’essentiel.

-> Pour connaître l’Itinéraire, les tarif, les horaires et pour vous inscrire, cliquez sur le lien Helloasso

Sortie Méditerranée du 26 au 28 Mars 2021, Bandol – Archipel des Embiez

Période : Sortie sur un week-end de 3 jours du Vendredi 26 au Dimanche 28 Mars 2021.
Participants : David, Claude, Max, François, Nadine, Jacques et Pascale.
Conditions météo : Nous sortons de l’hiver et entrons dans le printemps avec des températures en hausse et un soleil de plus en plus présent. Seule crainte le vent va vouloir être de la partie !

Etapes clés :
Cette sortie, dans le contexte sanitaire de la pandémie du Covid-19, est bien le reflet de l’indéfectible désir et de la volonté de ce groupe de 7 personnes à aller naviguer au grand air sur l’eau salée ! Suite aux tests PCR négatifs et à la préparation du matériel la veille du départ, nous décollons du club à 7h30 direction Bandol à 5 dans le camion et 2 dans une voiture.

La mise à l’eau se déroule au parking Deferrari à Bandol, malgré une hauteur limitée à 1m90 à l’entrée du parking gratuit. Nous trouvons de la place dans la rue pour garer le camion et la remorque sur 2 emplacements face à l’île de Bendor.

Nous commençons notre périple en direction de la baie de la Ciotat sous un ciel couvert avec un vent d’Est dans le dos. Nous admirons les falaises de cette partie de la côte en passant l’ile Rousse et en trainant dans la baie de la Moutte avec son rocher géant en forme de Galère ou de sous-marin.

Nous passons la Calanque du port d’Alon, direction la pointe Fauconnière juste avant St Cyr sur mer. Nous rebroussons chemin jusqu’à Calanque du port d’Alon avec le vent de face qui a forci (force 3) et une houle un peu plus marquée qui nous permet de nous préparer à la suite du week-end. Le bivouac au port d’Alon est protégé et nous offre un havre de paix.

La nuit est fraiche et humide car le ciel s’éclaircit pendant la nuit.
Nous partons au petit matin sous un grand soleil propice à des exercices de récupérations.

Nous revenons jusqu’à la plage de Bandol où se trouve notre camion.

Max et Pascale décident de s’arrêter car un vent de force 5 est annoncé pour la traversée de la baie de Sanary. Ils nous permettent ainsi de faire une navette entre Bandol et le Brusc à Six-Fours-Les-Plages. Nous voilà donc parti à 5, direction la pointe de la Cride, entre Bandol et Sanary, puis pour une longue traversée de 6 miles en 1h30 jusqu’à l’Archipel des Embiez avec une belle houle et un vent d’Ouest de travers qui nous a permis de nous entrainer à naviguer de front sur une même ligne afin de garder un œil les uns sur les autres.

L’île du Grand Rouveau devient notre objectif pour faire une halte et reprendre des forces, en visitant son phare, avant d’aller rejoindre le Brusc. L’étape est délicate, car le vent et les vagues nous poussent dans le dos. Mais avec les conseils avisés de François nous passons sans encombre entre les Embiez et l’île du Petit Rouveau.

Arrivée au Brusc, nous retrouvons Max pour aller chercher le camion avec Jacques, pendant que François, Nadine et Claude poursuivent à l’abri du vent sur la lagune, zone autorisée uniquement aux kayaks et paddles. Nous croisons des kayakistes du club de Six-Fours-Les-Plages qui nous conseillent de planter la tente aux « Jardin de la Ferme » situé à moins de 2 kilomètres et qui a le mérite d’être ouvert toute l’année. Nous suivons ce conseil avisé et posons nos affaires sereinement dans ce bel endroit arboré et dans lequel nous sommes chaleureusement accueillis. Nous avons alors le temps de nous promener dans les alentours avant le couvre-feu de 19h. Le lendemain, nous nous levons aux aurores (il fait encore nuit du fait du changement de l’heure d’été) et sommes les premiers à mettre nos bateaux à l’eau. Nous entamons alors le tour de l’Archipel des Embiez par une journée ensoleillée, très calme sans vent et sans houle. C’est une belle occasion de pratiquer des exercices d’esquimautage.

Nous contournons les Embiez, L’île du Grand Rouveau, les Magnons et finissons notre tour de
l’Archipel.

CR : David

Sortie rando au lac de Vouglans le dimanche 25 octobre 2020


Nous avions initialement prévu un week-end de navigation au lac du Salagou mais vu les contraintes dues au couvre feu, nous avons opté pour une rando à la journée sur le lac de Vouglans dans le Jura.
Nous sommes huit à ce rendez-vous : Nadine, Véronique, Arthur, Mélanie, Claude, Pierre, Max et Pascale les yeux bien ouverts malgré le passage à l’heure d’hiver. Il est 8 h, la journée s’annonce ensoleillée, nous partons avec le camion et le Berlingo de Claude pour une heure trente de route jusqu’au port de Mercantine où nous trouvons le lieu idéal juste au bord de l’eau pour décharger le matériel et embarquer aisément. Il fait doux, le lac est magnifique avec ses tons chauds d’automne ; il parait immense et il l’est ! Avec ses 16 km2 et 35 kms de long, c’est le troisième lac artificiel le plus grand en France. Le niveau est bien plus bas qu’en été, le barrage construit en 1968 régule le cours de l’Ain en utilisant l’eau du lac.

Il est 11 heures lorsque nous amorçons la navigation par la rive gauche, avec un vent de face. Après une heure trente de navigation, les estomacs commençant à crier famine, nous débarquons sur une petite plage à proximité d’un spot où les plongeurs chevronnés se retrouvent parfois pour aller profond (à plus de 50 m sous l’eau) admirer le vestiges engloutis de la Chartreuse de Vaucluse , superbe monastère du 12 e siècle).

Max nous propose de monter un peu dans les bois à la recherche d’une église, que nous ne trouvons pas : il faudra se contenter d’une croix de pierre et de quelque constructions en bois.

Le réembarquement est très « rock and roll », le vent souffle maintenant fort par rafales. Tout se passe plutôt bien tant que nous restons dans l’anse protégée mais un peu plus loin, il devient vraiment difficile de naviguer en sécurité : Claude demande au groupe de faire demi-tour et c’est là que nous accostons à nouveau à l’intérieur d’une crique à l’abri du vent. Max à l’aide d’Iphigénie, emmène une partie d’entre nous à la petite église convoitée, le cadre est splendide, le bâtiment superbement entretenue, c’est un bel endroit !

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Profitant de l’accalmie du vent, nous traversons le lac pour revenir par l’autre rive où de nombreuses petites cascades débouchent dans le lac, c’est très sauvage et très joli. Le ciel est couvert mais il ne pleut pas. Au dessus de nous, on aperçoit, nichée entre les falaises, la grande passerelle de la via ferrata du Regardoir classée AD que l’on peut facilement faire en famille. Une rencontre inattendue sur ce retour : deux anglaises, la mère et la fille n’hésiteront pas à se baigner dans cette belle eau claire mais plutôt fraîche (moins qu’en Angleterre disent elles !) Le comique c’est le bonnet de laine à pompon et les gants noirs, sans doute indispensables pour nager …..) elles auront la gentillesse de faire une photo du groupe.

De retour au port, le vent étant tombé, nous partons explorer un moment l’autre rive avant de rejoindre l’embarcadère vers 16 h 30.

Nous prenons la route avant la nuit ; une rapide pause pour le coup d’œil au niveau du parking du Regardoir où la vue est splendide bien que le jour commence à décliner. Trajet retour avec beaucoup de monde sur la route compte tenu du « couvre feu ». Nous arriverons bien avant 21h, largement dans les temps !

Une journée bien agréable dans ce site sauvage où l’on peut facilement venir naviguer et bivouaquer deux jours.

CR : Pascale Drevon

Sortie randonnée KMer sur la Saône le samedi 26 septembre 2020



En cette période de rentrée, une sortie sur la Saône nous a été proposée par Anne-Lise , avec la section Rando du CKDM, sortie ouverte à tous y compris les familles avec une carte découverte à 5€/personne. Balade tranquille pour explorer de jolies lônes mystérieuses et observer les oiseaux au fil de l’eau, en profitant du calme et de la bonne humeur du groupe !

Nous sommes 7 participants : Anne-Lise, Max, Pascale, Arthur, Franck, Pierre et Claude. Nous nous donnons rendez-vous à 8h 45 au club, pour un départ avant 10 h. Parcours : Massieux-Trévoux et retour soit une petite vingtaine de kilomètres. 

Nous embarquons donc à Massieux, en amont du pont de l’autoroute rive gauche, direction camping de l’écluse ; le lieu d’embarquement est très facile aussi bien pour le parking du camion et de la remorque que pour la mise à l’eau. Nous nous dirigeons vers Trévoux sous un ciel gris et changeant ; la pluie intermittente nous oblige à faire quelques pauses sous les ponts ou les arbres avant de reprendre notre route. Nous pique-niquons sous le soleil qui a fait son retour juste au bon moment, un peu en amont de Trévoux, rive droite ce qui nous permet de déguster quelques bons gâteaux préparés par Pascale et Anne Lise ! 

Les lônes de la Saône, nombreuses sur cette portion, nous permettent de découvrir une nature sauvage ; il est facile de naviguer dans ces bras de la Saône dans la mesure où le courant était très faible et que le niveau d’eau n’était pas très élevé. Nous prenons le temps de profiter de l’ambiance hors du commun dans ces écrins de verdure que n’explorent habituellement que les cygnes et quelques pêcheurs solitaires. (Attention toutefois en cas de fort débit aux arbres qui obstruent le passage et pourrait se révéler fort dangereux !) 

Un autre danger sur la Saône réside dans la présence de péniches qui si l’on n’y prend garde représente un réel danger pour nos petites embarcations en plastique, totalement invisibles pour un gros bateau ! Heureusement ni pertes ni dégâts pour notre petit groupe, tout le monde rentre à bon port.  La journée se termine paisiblement, nous rechargeons nos embarcations sur la remorque et rentrons sur Lyon avant la nuit avec encore une fois de beaux souvenirs en tête !


Sortie méditerranée 13-15 mars 2020, les 3 caps

Participants : Laurence, Claude, Nadine, Mélanie, Pierre, David, Jacques, François, Fred.

Préface : C’était en Mars 2020, un vent de panique commençait à souffler sur la France, un vent provenant de l’Est, directement de l’Asie en passant par l’Italie, sur fond de Coranavinus.
« Corona quoi ? »
« C’est un virus la bière maintenant ? C’est quoi cette nouvelle invention des Chinois ? »
Le Président l’a annoncé à la télé hier, le vent allait devenir tempête dans les heures à venir. Mais 9 insouciants avaient décidés de braver tous les
dangers pour profiter d’une parenthèse enchantée, histoire
d’avoir des souvenirs à se remémorer lors des sombres journées à venir.

Mercredi 10 mars :
Un week-end d’itinérance en kayak c’est avant tout une organisation et cela commence par un peu de logistique. Donc, en cette soirée de Mercredi, sous le pilotage mailing de Laurence, certains se retrouvent pour charger les kayaks sur la remorque et préparer les éléments communs de sécurité et de cuisine, pendant que d’autres font les courses.
C’est également l’occasion de faire un point sur la météo et définir quel serait le meilleur spot pour naviguer.
Verdict : nous allons attendre de voir comment la situation évolue d’ici ce week-end

Vendredi 13 mars :
Rendez-vous est pris pour 6h au club. Fin de chargement vite exécuté et hop, 6h22 départ immédiat pour le Sud. Nous récupérons au passage David et Nadine sur le parking de la discothèque pour qu’ils puissent commencer leur after !
C’est parti, mais au fait François où allons-nous ? Réponse à Fred, prends l’A7 vers le sud .
En effet, si le soleil rayonnant s’impose sur la totalité du week-end, Eole a décidé de lui tenir compagnie et de bien faire sentir sa présence.
Une longue discussion s’ensuit.
Qui a fait le point sur la météo ? Qu’en pensez-vous ? Les novices restent suspendus aux avis des plus aguerris.
A la croisé des chemins entre la route de Nîmes et celle d’Aix, décision est prise d’aller dans le golfe de Saint Topez faire les 3 caps.
C’est à l’heure du déjeuner que nous garons le camion le long de la plage de Gigaro, dans le golfe de Cavalaire.
Pique nique rapidement englouti et rangement des affaires perso et communes dans les caissons des kayaks, efficacement exécutés, tous le monde se regroupe auprès du maître de cérémonie pour le
traditionnel briefing.


David prendra la carte pour guider ces 9 irréductibles qui ont hâte d’en découdre avec cette magnifique eau turquoise.


Sous une température plus que clémente, le Cap Lardier est vite passé, laissant entrevoir le Cap Taillat et son tombolo. Dans ce sens, nous décidons de passer par le cap, et porterons pour le retour. Puis, le Cap Camarat se profile au loin. Au regard de l’heure, ce sera une longue traversée directe vers la pointe. Avant le passage, une pause s’impose pour remettre une petite laine ou« faire pleurer gracieuse ». C’était bienvenu car la ligne droite, le long de la place de Pampelonne, qui suit pour arriver au bivouac est longue, très longue, voir interminable.
Et enfin, au bout d’un nombre incalculable de coup de pagaie, nous accostons sur une magnifique plage abrité. Quelques courageux se jettent à l’eau pendant que d’autres préparent le festin.
C’est sous un ciel densément étoilée et le ventre repus que les tentes sont montées et les premiers ronronnements brisent le bruit de capot des vagues.

Samedi 14 mars
Levés à l’aube pour démonter le bivouac rapidement, nous prenons un peu plus de temps pour profiter du petit déjeuner et du calme de ce petit coin de paradis.
Les premières lueurs du soleil commencent à nous réchauffer et sécher les affaires de la veille. Et c’est dans la bonne humeur ambiante, que nous écoutons attentivement le briefing démocratique de François.
Nous continuons l’exploration de la baie vers le golfe de Saint Tropez et la baie des Canebiers.
Est-il probable que tombions sur la maison de B.B ?
Le soleil brille intensément et le vent se fait discret en ce début de matinée. De jolies méduses roses entourent nos pagaies et n’invitent pas vraiment à l’esquimau.


Nous révisons les balises indicatrices de danger présentes dans le Golfe, et voyons au loin un vieux gréement au voile carrée sortir du port de Saint Tropez.
Mais il est temps de faire demi tour. Nous retrouvons au passage, les filles qui ont fait une escale technique. C’est à bon rythme que nous repassons devant le cap de Saint Tropez et la plage hôte de notre bivouac, mais désormais occupée par des badeaux venus faire le plein de
vitamine D.
Le déjeuner s’effectue sur la plage de Pampelonne en prenant soin d’éviter les promeneurs, pour conserver notre séjour autarcique loin du tumulte qui se joue à notre insue.
Certains goûtent aux joies de la baignade. Il faut dire qu’une eau à 17°C à la mi mars incite franchement à la brasse.
Durant ce temps, les victuailles s’amoncellent sur le plaid de pique nique pour les plus affamés qui attendront patiemment que les naïades
veuillent bien sortir de l’eau.
Le soleil nous plonge dans une douce torpeur qui emportera quelques valeureux dans les bras de Morphée, le temps d’une micro sieste
réparatrice.
Le vent se lève, la houle commence à se faire sentir, et les embarquements deviennent plus subtils. Les conseils avisés sont pris avec sérieux. La petite troupe reprend son chemin, longeant au plus près des côtes. Certains jouent au rase cailloux pendant que d’autres les observent avec admiration ou les immortalisent. Le cap Camarat est bien vite franchis au plus
prêt et en rangs serrés pour éviter de se faire emporter par une rafale, puis cap vers le Village de l’Escalet. C’est sous les regard intrigué d’un public dense (4 personnes) que nous débarquons sur le tombolo du cap de Taillat.
Une course de portage de kayak s’instaure histoire de se dégourdir les jambes. Un peu de grignotage, le temps de quelques palabres sur le lieu de bivouac du soir et les pagaies reprennent du service vers le cap Lardier.
La houle est désormais formée permettant quelques surf, mais pas de quoi s’affoler et le passage du cap se déroule sans encombre. ll est temps de chercher où poser nos kayaks pour la nuit.
Serait-ce dans le parc ? Mais le prix de la nuit sous la voûte céleste n’est pas vraiment le même qu’en dehors. Le « UN » fait toute la différence et c’est sur un tacite consensus que nous arrivons à 100m du camion ( nous découvrirons le lendemain matin que finalement nous étions du mauvais coté de la limite du parc…). Les vagues commencent à déferler sur la plage et l’accostage commence à être un poil plus technique. François nous guide et Jacques réceptionne les kayaks. Tout le monde s’en sort avec brio.
La traditionnelle baignade du soir est maintenue par quelques grands courageux et l’apéro permet de se réchauffer en attendant la cuisson du dîner. Un cours sur la reconnaissance des phares agrémente la conversation.
Ce n’est qu’à la nuit noire et sous de nombreuses étoiles que les tentes peuvent être montées.

Dimanche 15 mars
C’est the « Eole Day » !!! Ce matin le réveil à l’aube se fait sous un temps encore clément, mais cela ne va pas durer. C’est météo-consult qui le dit, le vent va forcir dès le milieu de matinée et les rafales sont annoncées rouge écarlate !!!!
Le groupe commence à s’étioler. Si certains se réjouissent d’aller travailler la sécurité dans du « gros » d’autres envisagent plutôt la balade le long du littoral. Il est vrai qu’au troisième jour d’un effort continu les organismes commencent à accuser le coup et la proximité du camion n’aide pas à regonfler le moral des troupes.
Nous choisissons d’alléger les kayaks, en rapportant nos affaires au camion et c’est à 8, bien casqués, que nous partons vers le large, juste pour voir ce que c’est de naviguer dans une houle bien formée et avec du vent, en espérant obtenir le graal : de belles vagues de SURF
Au bout d’une petite heure à monter et descendre sur une mer de plus en plus agitée, Jacques tente l’esquimau qui se finit par une récup
de François, assisté de David et de Pierre, les filles jouant les groupies face au vent.
Une fois tout le monde remis dans son kayak et après de précieux conseils, la séance de surf par vague 3/4 arrière, direction Cavalaire, peut débuter. C’est fun mais pas si simple et très intense. Le coup de pagaie pour prendre la vague doit être énergique et efficace, heureusement que les dérives et gouvernail nous aident pour gérer la direction car ça fuse dans tous les sens.
A quelques encablures de la côte nous reprenons un cap face au vent et un objectif terrestre précis afin de se confronter à la dérive due au vent ou au courant. L’orientation de la pointe du kayak est loin de fixer l’objectif choisi. Après un débriefing rapide sur le degrés d’orientation estimé, il est temps de rejoindre le point de départ.
Claude et Laurence travaillent une récupération en eau plus calme avant de débarquer et David réussit son esquimau en combi sèche.
Une dernière baignade, un « étendage » improvisé des affaires le long de la plage, et nous prenons une pause déjeuner bien méritée. Après 3 jours déconnectés de toutes infos, le retour à la réalité est brutal. Il va falloir oublier le verre de fin de séjour, les restaurants et bars doivent fermer et la
Corona ne coulera plus à flot durant un bon moment.
Heureusement David a préféré la Leffe et quelques bouteilles ont été sauvegardées pour finir en beauté.
Chacun remballe ses affaires plus ou moins sèches et pendant que les plus costauds attachent les bateaux sur la remorque, le poids mort sur la flèche organise la session rattrapage d’informations, afin de définir qui ira travailler le lendemain ou restera chez lui. Au retour, David et Nadine ont retrouvé leur boîte de nuit préférée et après un rangement au club vite expédié, chacun est rentré chez lui, de beaux souvenirs plein la besace.

S’il avait été décidé de rincer les kayaks le mercredi suivant, l’allocution du Président, le lundi soir a réfréné toutes initiatives, imposant le CONFINEMENT TOTAL pour une durée de 15 jours reconductibles.
C’est comme ceci que s’achève ce mémorable week-end, le dernier d’une liberté insouciante avant que ne s’étalent devant nous des heures beaucoup moins joyeuses et aérées. Le kayak dans la baignoire c’est quand même beaucoup moins marrant !!!

CR Mélanie

Sortie du 8 mars 2020 Haut Rhône

Nous étions 8 participants : Fred, Jacques, Mélanie, Thomas, Arthur, Nadine David, Claude plus un neuvième dans le Trafic, pour la navette.

Nous n’avons pas pu faire la section Champagneux / Groslée (initialement prévue), car un arbre en travers d’une lône rendait la navigation difficile voire dangereuse.
Nous avons donc opté pour le tronçon Pougny / Bellegarde soit 17 km, parcours un peu plus court mais qui s’est avéré très intéressant également..

Embarquement au pont de Pougny, entre la France et la Suisse, (vu que nous étions rive gauche, c’est bien en Suisse que s’est fait l’embarquement.)
Beaucoup de courant, le débit est plutôt fort (560 m3 / seconde au Pont de Pougny)
Nous longeons une zone marécageuse rive droite, exploration d’une lône qui s’est vire avérée compliquée par un fort courant nous contraignant à faire demi tour.

Plus loin le Rhône se calme et nous avançons plus paisiblement
Passage dans le défilé de Fort l’Ecluse : nous admirons cet ouvrage militaire fortifié datant des 16e et 17e siècles. érigé à flanc de montagne pour contrôler le défilé de l’Écluse passage stratégique entre le Royaume de France et les Savoies. L’architecture et la situation de ce fort sont très impressionnants !

Plus loin, nous nous engoufrrons dans la Tîne de Parnant, minuscule gorge creusée par un petit affluent du Rhône.
Ambiance étrange dans cette petite gorge très froide, très encaissée avec une température de l’eau sûrement très basse (il ne ferait pas bon s’y retourner en kayak.) L’exubérante forêt du sommet forme un couvercle vert lumineux qui rend l’ambiance magique.

Puis arrivée à Bellegarde où certains d’entre nous remontent la Valserine pour y découvrir les ruines de ce qui s’avère être une ancienne usine électrique Louis Dumont (1884).

Nous retrouvons Robert, notre « navettiste », qui nous a bien simplifié cette rando et permis un retour sur Décines vers 18h.
Une très belle randonnée en canoë ou kayak pour découvrir ce Rhône sauvage.

Et cela bien sûr nous donne des idées : descente du Rhône en quatre jours de Pougny au grand Large. Qui relève le défi ?

8 décembre 2019 – Une rivière de lumière en kayak

Ce fut un 8 décembre mémorable pour les quelques 50 kayakistes du CKLOM et du CKDM qui ont eu la chance de participer à la rivière de lumière sur la Saône selon une mise en scène de l’architecte lyonnaise Charlotte Vergély. Descente féérique entre les passerelles Saint-Vincent et Saint-Georges, dans l’esprit des processions qui avaient lieu au Moyen-Âge sur la Saône.

Ce sont quelques 70 embarcations (kayaks, canoés et avirons) toutes équipées de lumignons, astucieusement fixés sur les bateaux et 20 000 petites embarcations chacune porteuse d’un lumignon et pour certaines d’un message qui se sont laissées flotter au fil de l’eau ! Poésie et féérie !

Puis la fête terminée, il a fallu remonter la Saône et récupérer (avec nos bergers et bergères chargés de nous guider depuis le départ) , le plus possible de lumignons afin de limiter une éventuelle pollution.

Puis direction la Confluence et arrivée au club du CKLOM, où un vin chaud, le camembert et le saucisson  nous attendaient !

Ce n’est qu’après minuit (le temps de faire la navette retour et de décharger les bateaux à Décines) que le marchand de sable est passé ! Merci à tous les organisateurs et bravo pour la bonne collaboration entre les différents acteurs de cet évènement.

Super soirée, super ambiance, et des lumières plein les yeux !

Gorges de l’Ardèche – 9 novembre 2019


Après des semaines d’attente fébrile, les aventuriers du CKTSV et du CKDM se sont retrouvés le 9 novembre pour LA descente des gorges, en marge du 35e Marathon International des Gorges de l’Ardèche. Une journée placée sous le signe de la parité sans mixité (dans le camion) et de la relativité spatio-temporelle (des personnes et objets).

Avec, dans les rôles principaux : Christelle, Jérôme, Jacques, Mélanie, David, Sara, Damien, Agathe, le
maillot à fleurs de Sara
Conducteurs : Jacques, David, co-pilotes : David, Christelle, Damien
Figurants : les 900 kayakistes du marathon, 2 goëlands, les serveurs de la buvette, le vendeur de Kayakomania, Special guest : le soleil. Bains : 0
Pertes : 0. L’agitation était à son comble chez les kayakistes intrépides pendant les jours précédant la sortie après une première annonce, puis un 2e appel à participants la veille. A 22h30, les derniers participants ont
confirmé leur présence (mieux vaut tard…) et il a été convenu de se retrouver au CKDM à 7h15 pour un départ à 7h30 (ou presque), avec un passage à la mystérieuse sortie 12 pour retrouver Christelle.
Après discussion, il a été décidé de prendre des kayaks de mer pour aller plus vite dans les passages plats avec moins de courant. Les 8 kayaks ont été chargés sur la remorque efficacement (si, si) avec tout le reste du matériel (certains n’étant venus qu’avec 1 maillot à fleur, il a fallu compléter le kit) et le convoi est parti vers 7h45 pour la fameuse rivière, avec énergie et bonne humeur, redoublées par la distribution de chouquettes de l’amitié/ des coups durs. Notre premier conducteur s’est montré d’une amabilité hors pair avec la responsable du péage en l’attente de classification du véhicule et nous sommes arrivés dans les temps impartis à la sortie 12 (qui est apparemment une succursale officieuse du CKTSV).

Mais là est apparue la première faille spatio-temporelle : Christelle était introuvable et injoignable, malgré le relai téléphonique mis en place. Comble de malchance, il n’y avait plus de chouquettes et Jérôme a fumé au moins une cartouche de cigarettes en partant à la recherche de notre organisatrice perdue dans la brume et la fraîcheur du matin. Après une série d’appels, plusieurs d’entre nous sont sortis du camion par solidarité avec Jérôme quand soudain Christelle est apparue dans le rétroviseur, courant avec ses sacs à chaque bras, poursuivie par Jérôme. Lisant un livre pour patienter, elle n’avait tout simplement pas vu le camion et ses 8 bateaux…
L’équipe au complet est donc repartie joyeusement pour les Gorges. Nous n’avons pas manqué en chemin d’admirer les champs de lavande typiques de la région et ses paysages verdoyants d’automne. Après une discussion sur les ponts de la région, il a été décidé de se mettre à l’eau après Vallon Pont d’Arc, en dessous d’une glissière. Nous avons pu garer le camion facilement alors que les compétiteurs s’échauffaient sans rigoler. Pour ne pas leur faire de l’ombre, nous avons commencé l’installation doucement avec une pause casse-croûte et potins, en ayant décidé de nous arrêter pendant la descente pour pique-niquer. Après une brève explication sur les drossages, nous nous sommes lancés à l’eau sur le coup de 11h30, avec une température fort clémente et un soleil vivifiant. Ici s’arrête la partie commune du compte-rendu, donc je vous invite à interroger l’autre moitié du groupe pour connaître leur expérience de la journée.

Après au moins 15 min de randonnée, le groupe s’est scindé en 2, avec dans le peloton de tête la majorité du groupe, et en voiture-balai Jacques et Jérôme, gentils accompagnateurs d’Agathe, perdue dans une autre faille-temporelle (sans doute le décalage horaire depuis les vacances, ces enseignants…). Les 900 compétiteurs du marathon étant partis avant nous, nous avons pu bénéficier du magnifique paysage, presque en solitaires (si l’on excepte les quelques autres kayakistes en vadrouille, les jeunes en
sortie escalade/ grottes, qui n’ont pas manqué de nous encourager à grands renforts de « il y a un rapide, vous allez tous vous renverser ! » et quelques goëlands).

Le niveau d’eau étant relativement élevé, les passages de rapides n’ont pas vraiment posé de problème, les contres si, en revanche (surtout qu’ils s’attaquent systématiquement aux mêmes personnes, les fourbes !). Tout le monde a donc pu s’entraîner à travailler ses bordures et ses passages de rapides « à moins d’1m de la falaise, on ne la joue pas mi-molle ! ». La descente n’étant pas trop éprouvante (même si Agathe était déjà en PLS depuis longtemps), le groupe a continué sans pause pique-nique mais avec des micro-pauses, pour pouvoir rentrer avant la tombée de la nuit. Chacun a pu admirer la beauté des paysages et les grottes inexplorées en bord de rivière, avec leurs graffitis si typiques du 20e siècle.

Les deux demi-groupes ont enfin débarqué près d’un parking humblement et loin des projecteurs, avec en arrière-plan l’annonce podium du marathon. Il faut souligner qu’il y a eu moins de 30 min d’écart entre
les deux parties du groupe et aucune perte ni bain. Jacques s’est empressé d’enfiler sa tenue de combat pour faire la navette, ce qui s’est révélé être très efficace puisqu’il a été pris en covoiturage par un confrère suisse moins d’un quart d’heure après le début de sa quête. Jérôme a pendant ce temps entamé la sienne puisque ses chaussures étaient parties faire un tour dans le triangle des Bermudes ardéchois. Après un bref ravitaillement, un relai informel s’est mis en place pour garder les kayaks et permettre à tous d’aller visiter les stands et la buvette du marathon. Les filles ont donc pu mettre en œuvre leur stratégie bière/ soldes, qui s’est révélée imparable puisque Mélanie a pu réaliser son rêve : acheter le même casque bleu que celui de Jérôme. Nous en avons profité pour bloquer la voie en nous faisant offrir l’apéro par le vendeur. Jacques est alors revenu avec le camion pour rétablir l’ordre sur la voie publique (et il était temps puisque tous les stands fermaient et nos bateaux commençaient à se sentir seuls). Malgré le terrain difficile, les kayaks ont été chargés tout aussi efficacement et nous avons pu fêter les retrouvailles avec les chaussures de Jérôme autour d’un merveilleux gâteau de Jacques (bien qu’il ne soit pas au yaourt). La dextérité du conducteur nous a permis de déposer Christelle à la fameuse sortie 12, et une proposition a été lancée pour y laisser un camion et des kayaks pour la prochaine sortie.

De retour au club, après un ballet de sacs disparus et retrouvés (quelle idée d’avoir les mêmes sacs, rien de mieux pour embarquer discrètement le portefeuille de quelqu’un d’autre), un dernier sac s’est trouvé en détresse (peut-être avait-il oublié de descendre à la sortie 12?). Bilan : une sortie au top, heureusement que le trajet m’a permis d’apprendre le nom de mes coéquipiers, que je n’ai pas vus sur l’eau. Promis, je m’entraîne dès demain pour le 36e marathon off ! CR rédigé par Agathe

Week-end Randonnée Kayak au lac de Monteynard (en Trièves) le 30 septembre 2019

En ce tout début d’automne, navigation sur le Lac de Monteynard (Barrage de retenue sur le Drac au Sud de Grenoble).

Départ du club à Décines vers 9h le samedi matin : six membres du club : David, Claude, Nadia, Anne Lise, Pierre, Fred. En route donc pour le Sud direction Grenoble et cette belle région du Trièves. Autoroute tout d’abord jusqu’au péage de Voreppe, puis voie rapide de contournement direction Sisteron, Luce la Croix Haute, Monestier de Clermont.  La départementale D75 nous conduit après le tunnel   de Varces juste avant Vif que nous traversons. Montée ensuite direction Monestier ; on quitte la départementale 75 par la gauche après 10 kilometres environ. Direction Treffort ou nous avons réservé au Camping de la Plage pour une nuit.

Samedi
On s’installe, on se restaure, on s’équipe et vers 14h nous voilà en train de descendre avec courage… nos embarcations jusqu’au bord d’un superbe plan d’eau pas complétement rempli (déficit de précipitations, changement climatique ? )Niveau à moins huit mètres du maxi habituel constaté par les traces sur les rochers du bord.)

Cap donc sur le barrage lui-même que nous approcherons dans les limites autorisées par les panneaux.

L’automne n’est pas encore très coloré … ce sera pour un peu plus tard.Tout au long de notre trajet nous croisons sous le vent divers navigateurs : véliplanchiste au long cours, surfeurs en tout genre (foil, wake boarders, paddle), kayaks, voiliers. Pas de problème pour personne le vent est modéré.  Le retour se fait vers 18h avec pour chacun l’espoir d’une encore plus belle journée le lendemain.

Avant la nuit certains partent à la recherche et trouvent un meilleur spot d’embarquement pour le dimanche matin. (On a constaté hier que la marée était très basse !!)

Dimanche matin.
Après une nuit tranquille quoique à peine fraîche on se dirige vers l’embarcadère de Treffort comme les grands…on n ‘est pas les seuls ….   Ni les plus rapides….   On se faufile entre les kites et autres bolides en direction du Sud. Plus avant nous nous glisserons sous la passerelle himalayenne de l’Ebron après avoir longé des falaises abruptes, variations de schistes noirs ou de calcaires dorés d’où surgissent ruisseaux et cascades, merveilles accessibles seulement aux happy few. (Nous entre autres !). Ensuite la recherche d ‘une plage ombragée accessible et de sable fin si possible. Pas la peine !! on va se contenter d’une pente caillouteuse et abrupte pour déguster beaufort, tomates, chips et autres délicatesses. 

Deux petits bains …., un moment de repos, et nous voilà repartis à la découverte de l’autre bras, celui du Drac, surplombé lui aussi d’une passerelle himalayenne.

Le site est magnifique, encaissé par endroit, très apprécié. On aperçoit des randonneurs à pieds et le Mira bateau promenade qui propose une découverte facile des lieux.

Nous rentrons au port de Treffort vers 18h, emportant avec nous des images de bateaux, de voiliers, de falaises, de soleil, de ciel bleu et d’amitié. L’Obiou du haut de ses presque 3000 mètres se colore en rose et nous dit discrètement au revoir.

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  • Mars 2022 – Sortie Bandol – Compte rendu
  • 27 mars 2022 – Sortie rando au barrage de Grangent – Compte-rendu
  • 29-31 octobre 2021 – Rando Kayak dans la baie de Saint Tropez – Compte-rendu
  • 10 octobre 2021 – Sortie rando au lac Aiguebelette – Compte-rendu
  • 25-26 septembre 2021 : Week-end Rhône Ô Lac – Compte-rendu
  • 26-28 Mars 2021 – Méditerranée Bandol – Archipel des Embiez – Compte rendu
  • Juillet 2021 – Bretagne en itinérance – Le Conquet – Molène Ouessant – Compte-rendu
  • 25 octobre 2020 – Sortie rando Vouglans – Compte rendu
  • 26 septembre 2020 – Sortie sur la Saône – Compte-rendu
  • 13-15 mars 2020 – Sortie Méditerranée Les 3 caps Compte-rendu
  • 8 mars 2020 – Le Haut Rhône en kayak de mer – Compte-rendu
  • 8 décembre 2019 – Une rivière de lumière en Kmer – Compte-rendu
  • 17 novembre 2019 – Un dimanche à Grangent – Compte-rendu
  • 9 novembre 2019 – Les gorges de l’Ardèche – Compte-rendu
  • 30 septembre 2019 : Week-end au lac de Monteynard – Compte-rendu
  • Mars 2019 : Sortie 3 jours, les calanques de Marseile en K Mer – Compte rendu
  • Dimanche 10 mars 2019 : Sortie Saône, Parcieux <-> Trévoux (Sébastien) – Compte-rendu
  • Samedi 9 février 2019 : journée Ski/Raquettes, Chartreuse (org. Laurence)
  • 12/13 janvier 2019 : WE  Chanaz – Lac du Bourget (org. Claude) – Compte rendu
  • Samedi 6 janvier 2019 :  Sortie journée sur le Rhône en amont de Jons avec l’école de pagaie (org. Baptiste)
  • Novembre 2018 : Sortie sur le lac d’Aiguebelette – > Compte-rendu
  • Septembre 2018 : Sortie sur le lac de Grangent (Saint Victor sur Loire) – > Compte rendu
  • Octobre 2017 :Randonnée itinérante sur la Costa Brava (Catalogne) -> Compte-rendu  Photos
  • Octobre 2017 : Rando journée sur l’Ain -> Compte-rendu Photos
  • Septembre 2017 : Randonnée autour de la Petite Camargue -> Compte-rendu Photos
  • Août 2017 : Participation au rassemblement « BKF 2017 »
  • Juillet 2017 : Randonnée itinérante sur la Loire
  • Mai 2017 : Stage de kayak de mer à Giens -> Compte-rendu photos
  • Avril 2017 : Randonnée Journée sur le Haut-Rhône de Vulbens à Génissiat -> Photos
  • Mars 2017 : Randonnée en Méditerranée
  • Janvier 2017  : lac du Bourget (kayak et raclette) -> Compte-rendu
  • Octobre 2016 : Randonnée en Corse -> voir les photos
  • Septembre 2016 : Lyon Kayak -> voir le compte -rendu
  • Août 2016 : Rassemblement 10 ans de kayakdemer.eu à Crozon & randonnée Bretagne -> Compte-rendu
  • Juillet 2016 : Randonnée sur la Loire  -> Compte-renduPhotos
  • Juin 2016 : Randonnée en Bretagne Sud – Belle-île-en-mer, Hoëdic, Houat, Golfe du Morbihan -> voir le compte-rendu – Photos
  • Mai 2016 : Randonnée en Méditerranée – Agay -> voir le compte-rendu
  • Avril 2016 : descente de l’Ain de Pont de Chazey à Anthon  -> voir le compte-rendu
  • Avril 2016 : Descente de l’Ardèche avec bivouac -> voir le compte-rendu
  • Mars 2016: Randonnée en Méditérranée, Porquerolles Port-Cros …  -> compte-rendu Album photos
  • Février 2016 : randonnée Aiguebelette -> voir le compte rendu
  • Novembre 2015 : Sortie Saône Ile Roy & Ile Barbe  -> voir le compte rendu
  • Octobre 2015 : Corse Ajaccio-Scandola -> compte rendu
  • Septembre 2015 : Lyon Kayak 2015 -> voir le compte rendu
  • Septembre 2015 : Grangent / Loire -> voir le compte rendu
  • Juillet 2015 : Randonnée en Bretagne, de Saint-Pol de Léon à Paimpol -> Compte-Rendu Album photo
  • Juin 2015  : Sortie inter-sections -> voir le compte rendu
  • Mai 2015 : Randonnée Allier -> voir le compte rendu
  • Avril-mai 2015 : Séjour Mer Agay (près de Cannes) -> voir le compte rendu
  • 25-26 Avril 2015 : Randonnée Ardèche-> voir le compte rendu
  • Février 2015 : Randonnée Calanques (Bandol – Port-Miou)
  • Toussaint 2014 : Stage kayak de mer  (Sanary – Giens – Porquerolle – Port-Cros – Cavalaire)
  • 18 Octobre 2014: Randonnée Saône
  • Août 2014: Séjour itinérant en Bretagne de l’Aber Wrac’h à la Baie de Morlaix -> voir le compte rendu
  • 13 juillet 2014: De Chanaz au lac du Bourget en passant par le canal de Savières > voir le compte rendu
  • 12-13 avril 2014 – Les gorges de l’Ardèche -> voir le compte-rendu
  • 28 oct-3 nov 2013 – Stage mer (Zone Cannes Giens Porquerolles) -> voir le compte rendu
  • 28 septembre – Translac du Bourget -> voir le compte rendu
  • 16-19 août Rando / Kayak au Lac de Serre Ponçon -> voir le compte rendu
  • 2-23 juin 2013 -Randonnée kayak au Lac du Monteynard en Isère > voir le compte rendu
  • 7-13 mai 2013 – Randonnée en autonomie sur l’Allier -> voir le compte-rendu
  • Dimanche 17 mars 2013 – Sortie Grand-Large> voir le compte-rendu
  • Janvier-Février 2013 – Atelier fabrication de pagaies groenlandaises-> voir le compte-rendu
  • Dimanche 6 janvier 2013: Galette des Rois, et petite navigation au Grand Large -> voir le compte-rendu
  • Descente du Rhône du Grand Large à Confluence – 16 décembre -> voir le compte-rendu
  • La Traversée de Lyon – 23 septembre 2012 -> voir le compte-rendu
  • Séance St Pierre de Boeuf 8 septembre 2012 -> voir le compte-rendu
  • Stage handisport Palavas  27-31 août 2012 -> voir le compte rendu
  • Séjour Dordogne du 30 juin au 07 juillet 2012 -> voir le compte rendu
  • Sortie Journée sur l’Ain le 23 juin 2012 -> voir le compte rendu
  • Journée Sécurité + Pagaies Couleur Eau Calme à Miribel 9 juin 2012 -> photos
  • Marathon du Haut-Rhône 3 juin 2012 -> voir le compte-rendu
  • Sortie sur l’Allier 3 jours WE de Pentecôte -> voir le compte-rendu
  • Sortie à Paladru le 12 mai 2012voir le compte-rendu
  • Sortie sur le Léman 4 jours WE  8 mai 2012 – voir le compte-rendu
  • Samedi 31 mars : 1ère séance de formation « Pagaie Couleur » – Compte rendu et photos
  • semaine 27 Août-3 septembre: Bretagne, Archipel de Molène – mer d’Iroise -> Rando-Bivouac avec BE:
  • Week-end 2-3 juillet: Traversée du lac du Bourget A/R avec la participation du club du Bourget -> Rando-Bivouac (camping):  Une belle randonnée sur 2 jours sur un des plus beaux lacs de la région. Les rencontres avec le club du Bourget sont toujours conviviales et sympathiques. voir
  • Le week-end de la pentecôte 11-13 juin 2001 : la sortie sur le lac de Serre Ponçon – Rando-Bivouac a été annulée => Sortie journée à Miribel lundi 13 – 9h30 16h30. matin. Peu de participants mais journée agréable : kayak, cookies maison et observation des oiseaux.
  • Allier: Langeac-Brioude 3-5 Mai 2011 – voir le compte rendu