Randonnée itinérante en autonomie avec bivouac en Corse du 21 au 30 octobre
9 participants dont 3 très expérimentés et 3 novices. Chacun transporte son matériel de bivouac, ses vêtements et une journée de repas pour tout le groupe ; (Les encas et les petits déjeuners sont personnels)
Départ du club samedi 21 Nous avons chargé les kayaks sur la remorque. Vers 10 h, nous sommes prêts à partir pour la Corse. On est heureux et il fait beau !
Arrivée à Toulon dans l’après-midi, petit crochet par la plage du Mourillon et visite du club de pirogue polynésienne de Toulon avec son président très accueillant avant de prendre le ferry. La mer est bleue, du vent et quelques moutons blancs. Traversée en ferry de nuit. Ça bouge, il y a de la houle. Au départ nous avions prévu une randonnée d’Ajaccio à Propriano mais la météo en a décidé autrement. Nous avons donc fait un périple en plusieurs parties …
Porto-Vecchio Arrivée à Porto Vecchio dimanche 22 octobre après une nuit sur le ferry. Un beau levé de soleil avec une belle vue sur la Sardaigne d’un côté et la Corse de l’autre
Bonifacio Nous sommes allés de Porto -Vecchio à Bonifacio où nous avons garé le camion et la remorque sur le port. Et, après une pause pique-nique ensoleillée, nous avons embarqué direction cap de Feno à l’ouest.
On teste le matériel au Phare de la Madonetta
Pause sur une plage de sable fin, baignade, rase cailloux , que du bonheur. En fin d’après midi on s’arrête à la plage du Fazzio pour installer le campement. Le menu de ce soir est un blézotto préparé par Nadine. On se régale dans un décor de rêve.
Plage du Fazzio lundi 23 octobre
On remet tout dans les bateaux et, ça rentre ! OUF ! On fait le débrief du matin avant de partir plein est vers le cap du Pertusato.
Bonne navigation le long des blanches falaises de Bonifacio avec un petit vent de face. Il fait chaud sous le soleil. On s’arrête dans la grotte de Saint Antoine pour pique-niquer.
Après une journée de navigation sous un beau soleil nous nous arrêtons à la Plage de Cala Sciumara pour le bivouac. Snorkeling et exercices de récupération pour terminer la journée avant un excellent chili con carne cuisiné par Hugo
Plage de Cala Sciumara mardi 24 Après une nuit torride à 24⁰C sous les tentes, on prend un petit déjeuner aux aurores et embarquons en direction de Bonifacio pour le ravitaillement.
François nous conduit, on se dépêche car une grande dépression est annoncée avec un vent violent.
7h58 Navigation dans la brume 8h16 Bonifacio apparait sur la falaise
Il était temps d’arriver car il est tombé des trombes d’eau que le vent poussait presque à l’horizontale. On a récupéré le camion et on a filé au nord de Porto Vecchio, là où la météo s’annonçait plus clémente… Après une nuit au camping à la ferme du Ranch Villata à Zonza, on repart en camion jusqu’à la plage Siesta à Conca. Là, on laisse le camion et la remorque et on part pour un nouveau périple.
La plage de Conca mercredi 25
Après avoir bien étudié la météo et les cartes, nous embarquons en direction du sud. Le soleil est de retour, il fait chaud, un arc en ciel salut notre départ. Le chargement des bateaux devient de plus en plus efficace ! On pique-nique à la plage de Fautea. Une belle côte découpée sur 8 km avec quelques plages de sable fin. On s’amuse dans les vagues. Quelques exercices de gîte, on mouille la jupe…
Nous passons devant la tour génoise sur son roc de granit rose
Après une après midi de navigation avec un vent de face, nous arrivons à la plage de Pinarellu. Nous installons notre campement dans les bois à l’abri des regards.
Pinarellu jeudi 26 Nous avons franchi de nombreux caps, fait le tour de l’île de Piranello avec sa tour génoise. Personne sur l’eau à part nous, la mer nous appartient, on domine les flots.
Pause pique-nique plage de Capicciola
13 km avec du vent de face pour arriver à la plage de Saint Cyprien,. Les épaules se rappellent à nous. Pas d’autres kayaks à l’eau mais de nombreux kitesurf et planches à voile dans la baie. Un beau soleil pour cette fin d’après midi. Finally, searching for a 1xbet promo code today will lead you to the same conclusion: you need the active welcome promo code. This code is the gateway to the primary sign-up incentive, which remains one of the most generous in the industry, designed to give new players a powerful and engaging start on the 1xBet platform. Les nuages lenticulaires nous ont accompagné tout l’après midi.
Le temps est changeant. Quelques averses dans la soirée mais dès que ça cesse, la joie est retrouvée.
Saint Cyprien vendredi 27
On avait prévu un retour avec le vent dans le dos, mais Eole n’en fait qu’à sa tête et change de direction ! Tout le monde se prépare pour embarquer, une vrai fourmilière en activité. Mais finalement on va marcher à pieds dans le coin pour aujourd’hui. Le vent est trop fort pour naviguer…Belle après midi avec du vent et du soleil, baignade dans la houle, promenade sur la plage et repos.
Deuxième bivouac sur la plage de Sainte Lucie après cette journée ‘off’. Encore un magnifique coucher de soleil
Saint Cyprien samedi 28
On embarque sur une mer d’huile et on pique-nique sur la plage de Fautea
L’après-midi, François nous fait pagayer et chanter à la fois. C’est extraordinaire la synchronisation que les chants marins induisent ! Et voilà la navigation du jour est terminée. Nous sommes de retour à la plage de Conca à Flavone après 21 km. On charge vite les bateaux sur la remorque et direction le prochain bivouac…
Mise en place du bivouac à Piantarella à la nuit tombée avec la pleine lune, en face des îles Lavezzi.
Embarquement pour les Lavezzi dimanche 29
Beau temps pour cette traversée vers les îles Lavezzi en face de Bonifacio. Pliage des tentes de nuit et micro déjeuner. Sacrée belle lumière au lever de soleil
Nous navigons dans les iles Lavezzi. On fait une petite pause sur une plage proche du cimetière marin (les îles en comptent deux). En effet, le 15 février 1855 que la frégate impériale Sémillante se perdait corps et biens sur un îlot de l’archipel des Lavezzi, avec près de 700 personnes à bord. Ce jour là soufflait dans le détroit, dès les premières heures du jour, une tempête d’une rare violence…. A noter qu’une pyramide a été érigée sur les lieux même du naufrage en 1856.
On prend un deuxième petit déjeuner car le premier a été rapide afin de pouvoir embarquer avec le lever de soleil. Seuls au monde, on n’entend que le bruit des oiseaux et des vagues.
Les Lavezzi c’est fini. Tour des îles sous le soleil. On a navigué dans les courants dans les bouches de Bonifacio entre Corse et Sardaigne. On a pu s’amuser entre les îlots, et prendre les courants comme en eau vive. De retour au camion, on repart prendre le ferry .
Lundi 30 De retour à Décines. 10⁰C de moins, la pluie, la Corse c’est fini !
Merci à Hugo pour les photos, à David pour avoir gérer l’organisation et à François pour avoir été notre patient capitaine…
Préface : C’était en Mars 2020, un vent de panique commençait à souffler sur la France, un vent provenant de l’Est, directement de l’Asie en passant par l’Italie, sur fond de Coranavinus.
« Corona quoi ? »
« C’est un virus la bière maintenant ? C’est quoi cette nouvelle invention des Chinois ? »
Le Président l’a annoncé à la télé hier, le vent allait devenir tempête dans les heures à venir. Mais 9 insouciants avaient décidés de braver tous les
dangers pour profiter d’une parenthèse enchantée, histoire
d’avoir des souvenirs à se remémorer lors des sombres journées à venir.
Mercredi 10 mars :
Un week-end d’itinérance en kayak c’est avant tout une organisation et cela commence par un peu de logistique. Donc, en cette soirée de Mercredi, sous le pilotage mailing de Laurence, certains se retrouvent pour charger les kayaks sur la remorque et préparer les éléments communs de sécurité et de cuisine, pendant que d’autres font les courses.
C’est également l’occasion de faire un point sur la météo et définir quel serait le meilleur spot pour naviguer.
Verdict : nous allons attendre de voir comment la situation évolue d’ici ce week-end
Vendredi 13 mars :
Rendez-vous est pris pour 6h au club. Fin de chargement vite exécuté et hop, 6h22 départ immédiat pour le Sud. Nous récupérons au passage David et Nadine sur le parking de la discothèque pour qu’ils puissent commencer leur after !
C’est parti, mais au fait François où allons-nous ? Réponse à Fred, prends l’A7 vers le sud .
En effet, si le soleil rayonnant s’impose sur la totalité du week-end, Eole a décidé de lui tenir compagnie et de bien faire sentir sa présence.
Une longue discussion s’ensuit.
Qui a fait le point sur la météo ? Qu’en pensez-vous ? Les novices restent suspendus aux avis des plus aguerris.
A la croisé des chemins entre la route de Nîmes et celle d’Aix, décision est prise d’aller dans le golfe de Saint Topez faire les 3 caps.
C’est à l’heure du déjeuner que nous garons le camion le long de la plage de Gigaro, dans le golfe de Cavalaire.
Pique nique rapidement englouti et rangement des affaires perso et communes dans les caissons des kayaks, efficacement exécutés, tous le monde se regroupe auprès du maître de cérémonie pour le
traditionnel briefing.
David prendra la carte pour guider ces 9 irréductibles qui ont hâte d’en découdre avec cette magnifique eau turquoise.
Sous une température plus que clémente, le Cap Lardier est vite passé, laissant entrevoir le Cap Taillat et son tombolo. Dans ce sens, nous décidons de passer par le cap, et porterons pour le retour. Puis, le Cap Camarat se profile au loin. Au regard de l’heure, ce sera une longue traversée directe vers la pointe. Avant le passage, une pause s’impose pour remettre une petite laine ou« faire pleurer gracieuse ». C’était bienvenu car la ligne droite, le long de la place de Pampelonne, qui suit pour arriver au bivouac est longue, très longue, voir interminable.
Et enfin, au bout d’un nombre incalculable de coup de pagaie, nous accostons sur une magnifique plage abrité. Quelques courageux se jettent à l’eau pendant que d’autres préparent le festin.
C’est sous un ciel densément étoilée et le ventre repus que les tentes sont montées et les premiers ronronnements brisent le bruit de capot des vagues.
Samedi 14 mars
Levés à l’aube pour démonter le bivouac rapidement, nous prenons un peu plus de temps pour profiter du petit déjeuner et du calme de ce petit coin de paradis.
Les premières lueurs du soleil commencent à nous réchauffer et sécher les affaires de la veille. Et c’est dans la bonne humeur ambiante, que nous écoutons attentivement le briefing démocratique de François.
Nous continuons l’exploration de la baie vers le golfe de Saint Tropez et la baie des Canebiers.
Est-il probable que tombions sur la maison de B.B ?
Le soleil brille intensément et le vent se fait discret en ce début de matinée. De jolies méduses roses entourent nos pagaies et n’invitent pas vraiment à l’esquimau.
Nous révisons les balises indicatrices de danger présentes dans le Golfe, et voyons au loin un vieux gréement au voile carrée sortir du port de Saint Tropez.
Mais il est temps de faire demi tour. Nous retrouvons au passage, les filles qui ont fait une escale technique. C’est à bon rythme que nous repassons devant le cap de Saint Tropez et la plage hôte de notre bivouac, mais désormais occupée par des badeaux venus faire le plein de
vitamine D.
Le déjeuner s’effectue sur la plage de Pampelonne en prenant soin d’éviter les promeneurs, pour conserver notre séjour autarcique loin du tumulte qui se joue à notre insue.
Certains goûtent aux joies de la baignade. Il faut dire qu’une eau à 17°C à la mi mars incite franchement à la brasse.
Durant ce temps, les victuailles s’amoncellent sur le plaid de pique nique pour les plus affamés qui attendront patiemment que les naïades
veuillent bien sortir de l’eau.
Le soleil nous plonge dans une douce torpeur qui emportera quelques valeureux dans les bras de Morphée, le temps d’une micro sieste
réparatrice.
Le vent se lève, la houle commence à se faire sentir, et les embarquements deviennent plus subtils. Les conseils avisés sont pris avec sérieux. La petite troupe reprend son chemin, longeant au plus près des côtes. Certains jouent au rase cailloux pendant que d’autres les observent avec admiration ou les immortalisent. Le cap Camarat est bien vite franchis au plus
prêt et en rangs serrés pour éviter de se faire emporter par une rafale, puis cap vers le Village de l’Escalet. C’est sous les regard intrigué d’un public dense (4 personnes) que nous débarquons sur le tombolo du cap de Taillat.
Une course de portage de kayak s’instaure histoire de se dégourdir les jambes. Un peu de grignotage, le temps de quelques palabres sur le lieu de bivouac du soir et les pagaies reprennent du service vers le cap Lardier.
La houle est désormais formée permettant quelques surf, mais pas de quoi s’affoler et le passage du cap se déroule sans encombre. ll est temps de chercher où poser nos kayaks pour la nuit.
Serait-ce dans le parc ? Mais le prix de la nuit sous la voûte céleste n’est pas vraiment le même qu’en dehors. Le « UN » fait toute la différence et c’est sur un tacite consensus que nous arrivons à 100m du camion ( nous découvrirons le lendemain matin que finalement nous étions du mauvais coté de la limite du parc…). Les vagues commencent à déferler sur la plage et l’accostage commence à être un poil plus technique. François nous guide et Jacques réceptionne les kayaks. Tout le monde s’en sort avec brio.
La traditionnelle baignade du soir est maintenue par quelques grands courageux et l’apéro permet de se réchauffer en attendant la cuisson du dîner. Un cours sur la reconnaissance des phares agrémente la conversation.
Ce n’est qu’à la nuit noire et sous de nombreuses étoiles que les tentes peuvent être montées.
Dimanche 15 mars
C’est the « Eole Day » !!! Ce matin le réveil à l’aube se fait sous un temps encore clément, mais cela ne va pas durer. C’est météo-consult qui le dit, le vent va forcir dès le milieu de matinée et les rafales sont annoncées rouge écarlate !!!!
Le groupe commence à s’étioler. Si certains se réjouissent d’aller travailler la sécurité dans du « gros » d’autres envisagent plutôt la balade le long du littoral. Il est vrai qu’au troisième jour d’un effort continu les organismes commencent à accuser le coup et la proximité du camion n’aide pas à regonfler le moral des troupes.
Nous choisissons d’alléger les kayaks, en rapportant nos affaires au camion et c’est à 8, bien casqués, que nous partons vers le large, juste pour voir ce que c’est de naviguer dans une houle bien formée et avec du vent, en espérant obtenir le graal : de belles vagues de SURF
Au bout d’une petite heure à monter et descendre sur une mer de plus en plus agitée, Jacques tente l’esquimau qui se finit par une récup
de François, assisté de David et de Pierre, les filles jouant les groupies face au vent.
Une fois tout le monde remis dans son kayak et après de précieux conseils, la séance de surf par vague 3/4 arrière, direction Cavalaire, peut débuter. C’est fun mais pas si simple et très intense. Le coup de pagaie pour prendre la vague doit être énergique et efficace, heureusement que les dérives et gouvernail nous aident pour gérer la direction car ça fuse dans tous les sens.
A quelques encablures de la côte nous reprenons un cap face au vent et un objectif terrestre précis afin de se confronter à la dérive due au vent ou au courant. L’orientation de la pointe du kayak est loin de fixer l’objectif choisi. Après un débriefing rapide sur le degrés d’orientation estimé, il est temps de rejoindre le point de départ.
Claude et Laurence travaillent une récupération en eau plus calme avant de débarquer et David réussit son esquimau en combi sèche.
Une dernière baignade, un « étendage » improvisé des affaires le long de la plage, et nous prenons une pause déjeuner bien méritée. Après 3 jours déconnectés de toutes infos, le retour à la réalité est brutal. Il va falloir oublier le verre de fin de séjour, les restaurants et bars doivent fermer et la
Corona ne coulera plus à flot durant un bon moment.
Heureusement David a préféré la Leffe et quelques bouteilles ont été sauvegardées pour finir en beauté.
Chacun remballe ses affaires plus ou moins sèches et pendant que les plus costauds attachent les bateaux sur la remorque, le poids mort sur la flèche organise la session rattrapage d’informations, afin de définir qui ira travailler le lendemain ou restera chez lui. Au retour, David et Nadine ont retrouvé leur boîte de nuit préférée et après un rangement au club vite expédié, chacun est rentré chez lui, de beaux souvenirs plein la besace.
S’il avait été décidé de rincer les kayaks le mercredi suivant, l’allocution du Président, le lundi soir a réfréné toutes initiatives, imposant le CONFINEMENT TOTAL pour une durée de 15 jours reconductibles.
C’est comme ceci que s’achève ce mémorable week-end, le dernier d’une liberté insouciante avant que ne s’étalent devant nous des heures beaucoup moins joyeuses et aérées. Le kayak dans la baignoire c’est quand même beaucoup moins marrant !!!
samedi 23 mars 2019, le CKDM a participé à la Nuit de l’Eau organisée au centre nautique Camille Muffat à Décines au bénéfice de l’UNICEF.
A cette occasion nous avons pu faire découvir le paddle et le kayak à de nombreux jeunes décinois et leurs familles.
Entre 14h30 et 19h30, nous avons accueillis 134 personnes grâce à nos paddles gonflables aquis cette année avec le soutien du FDVA.
Nous avons également pu faire découvrir le kayak sur le créneau 17h30 – 19h30 pour 38 jeunes.
Le Décines Aquatic Club et le Neptune Club Décines étaient présents à nos côtés pour cette journée de découverte sous le signe de la bonne humeur et de la solidarité.
Merci à Thomas et Julien, présents aux côtés de Ronan, Valentin et Baptiste pour cette belle journée !
Compte-rendu de sortie journée de la section Randonnée sur la Saône, entre Parcieux et Trévoux Date: 10 Mars 2019 Participants: Claude, Laurent, Sébastien (resp.), Stéphane H, Thomas
Parcours
Cinq participants pour une sortie prévue pour être accessible à des kayakistes ayant débuté à l’automne. Le RDV est donné à 8h30. L’instant de sortir les bateaux, aller chercher la remorque, les mettre sur la remorque, en retirer et en remettre, sangler, défaire et re-sangler, refermer toutes les serrures, nous voilà partis environ une heure plus tard. Après environ 25 km pendant lesquels les gps se contredisent, nous voilà au point d’embarquement, à proximité du « camping de l’écluse à Parcieux », en rive gauche de la Saône, en aval de l’ancienne écluse au PK 26 (adresse 1413 Chemin de Halage, 01600 Parcieux, au bout du chemin des Varennes). Après avoir posé les kayaks près du point de mise à l’eau et mis nos tenues de navigation, on libère le chemin de halage en garant le camion et la remorque à proximité des habitations. Embarquement sans soucis comme on dit dans la région. L’eau est encore très fraiche.
Mise à l’eauAncienne écluse, au PK 26
Nous commençons par prendre le (faible) courant et contournons l’île Beyne par le sud avant de remonter en longeant d’abord l’île puis la rive droite de la Saône en direction de Trévoux. Cette rive est un peu plus sauvage, on observe des branches taillées (castors ?), des amas de coquillages (rat musqué ?), des couples de col verts, des grands cormorans avec au plumage nuptial partiellement blanc (Phalacrocorax carbo sinensis ?) . Bien qu’assez bien préservée, on constate malheureusement, comme sur tous les cours d’eau, la présence de quelques sacs en plastique dans les branches et d’autres déchets sur la rive.
Ile BeyneSaône, rive droiteTrace de castor ?Salle à manger de rat musqué ?PapotageVél’eau
A l’île de la Pradelle, nous nous engageons dans la lône et nous arrêtons pique-niquer en rive droite de la Saône, où nous profitons de bancs et tables en pierre (aire aménagée « queue de l’Ile » à Quincieux). En fin de pique-nique le groupe n’a eu aucune pitié pour les pop-corns apportés par Claude ! Réembarquement puis remontée du passage entre l’île et la rive, obstrué par des arbres. Quasiment sans courant et avec un peu de contorsion, ça passe mais attention : à ne pas tenter s’il y a du courant !
Ile de la Pradelle, aire de pique-nique, ne passe pas si courant (arbres bloquant le passage)
Rive droite à gauche, île de la Pradelle à droite, arbres en faceRive droite … à droite, île de la Pradelle … à gauche !Barque à rénover …Rive droite … à droite, île de la Pradelle … à gauche (bis)Trévoux à droite … sur la rive gaucheTrévoux
Nous continuons à remonter en longeant rive droite. Nous passons devant Trévoux, puis laissons l’île du Roquet sur notre droite, et « Les îles » (dixit gogol) sur notre gauche. Là se produit un phénomène étonnant: arrivés à la pointe ouest de l’île du Roquet, des veines d’eau se forment soudainement alors que l’eau était calme ?!? Jouez sur plinko casino — rendez-vous sur le site et commencez à gagner !
Formation soudaine de petites veines à la Pointe ouest de l’île Roquet ?!?
Quelques bacs plus tard, la veine d’eau disparait et … la proue d’une péniche de marchandise à grand gabarit fait son apparition !
Il semble que le volume de la péniche limitait le débit dans le chenal principal, entre la rive gauche et l’île du Roquet, faisant ainsi monter localement et momentanément la hauteur d’eau dans le petit bras. Nous profitons un peu des vagues derrière la péniche avant de continuer à remonter et, peu après « les Iles », nous faisons demi-tour.
Ancienne écluse à ParcieuxAncienne écluse à Parcieux (bis)Retour au point de départ, entre les roseauxRoseaux à Parcieux
Nous empruntons la lône entre la rive droite de la rivière et le sud de « Les îles » où nous croisons un 4×4 qui traverse la rivière ! Nous reprenons ensuite le cours principal de la Saône pour rentrer tranquillement au point de départ sous un ciel dégagé, en profitant du faible courant. Avant de reprendre la route vers le club, pour clore cette sympathique sortie tranquille Laurent partage un délicieux gâteau au chocolat. En résumé, une agréable journée passée sur l’eau qui a permis à des nouveaux adhérents (initiés par Baptiste à « l’école de pagaie adulte ») de pagayer en dehors du Grand Large.
Dimanche dernier à eu lieu le tournoi de kayak polo jeunes, une rencontre entre les club des environs autour de la discipline du kayak polo.
Et le tout au chaud à la piscine de Raymond Sommet à St Étienne.
Départ en fin de matinée pour le CKDM.
7 jeunes du club étaient présents à cette événement.
Après une heure de route, il est venu le temps du pique dans les gradins de la piscine avant de monter sur l’eau.
Le tournoi débute !
A travers différentes situations de match, les jeunes ont du mener à bien les différentes épreuves pour pouvoir obtenir un maximum de point dans le classement.
Chaque séquences étaient individuelles ( passe, tir, dribble avec tir) et adaptée à la catégorie (de poussin à cadet).
S’en suivie les matchs !
En tout, Trois matchs de deux fois cinq minutes.
Au vue du nombre de joueur, nous avons mélangé les catégories pour obtenir trois équipes composées de poussin(e)s, benjamin(e)s, minimes et cadet(e)s.
C’est la fin de la journée, le classement est annoncée et tout le monde se rassemble autour d’un grand goûter avant de repartir.
Cette journée a permis à certain de découvrir les échanges que l’on peut avoir avec les autres club, la mixité des catégories est très intéressante, il est agréable de voir des grand(e)s s’occuper des petit(e)s d’autre club.
Très belle journée de cohésion interclub malgré le manque de participants.
L’équipe régionale du CKDM a participé à la 1ère journée du championnat régional de kayak polo au centre Etienne Gagnaire de Villeurbanne le dimanche 2 décembre 2018.
Notre équipe était composée de jeunes du club (Arthur, Jules, Julien, Louis et Tanguy) encadrés par 2 joueurs expérimentés (Gilles et Fabien). Cette équipe engagée en tant qu’équipe Open (hors classement) a réalisé un bon tournoi puisqu’elle a remporté 2 match plus un match nul contre Chambery qui évolue dans le championnat de France de Nationale 4.
Les portes ouvertes du CKDM se sont tenues ce jour.
Après le nettoyage des berges et d’une partie des locaux du club, nous avons pu accueillir une cinquantaine de personnes pour venir découvrir le club sous le soleil …
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Samedi 9 septembre après-midi, les moins de 12 ans de l’école de rugby de Meyzieu avaient rendez-vous pour une activité kayak sur la base du CKDM.
Partis en vélo depuis Meyzieu et apès un pique nique au bord du Grand Large les jeunes ont pu participer à des relais et petites courses en bateaux biplaces, des jeux d’équilibre ou encore à des jeux de ballons sur le terrain de kayak polo.