Nous étions 8 présents au club ce dimanche printanier à 8 heures malgré le changement d’horaires. (David organisateur et sa femme Sylvie, Lionel et Anne, Erika et Nicolas, Max et Pascale)
Après un trajet sans problème, nous arrivons à la base nautique de St Victor sur Loire.
A cette heure là, il est encore facile de se garer à proximité de l’embarquement du coup, nous sommes à 10 h 30 sur l’eau accompagnés d’un petit vent bien vivifiant mais nous nous réchauffons vite avec une navigation sur la droite de la base nautique, direction le barrage en longeant le joli château féodal de Saint Just st Rambert et sa chapelle, maintes fois restaurés, qui semblent flotter sur l’eau.
Quelques photos du magnifique donjon haut de 18 m de ce château du XIe siècle classé monument historique depuis 1945 qui avant la construction du barrage dominait la Loire de 60 mètres à une époque où les gorges étaient un axe de passage stratégique entre le Forez et le Velay.
Puis en longeant à nouveau la base nautique , nous partons dans l’autre sens, passons avec difficulté le pont qui marque la sortie de la partie lac. En effet, le niveau d’eau est vraiment très très bas et il faut trouver la bonne brèche pour ne pas rester immergé. Nous remontons le large lit de la Loire, le paysage est sauvage, rochers parfois escarpés, grandes parties boisées de conifères et de feuillus encore en habit d’hiver, quelques oiseaux, peu d’habitation mais quelques beaux châteaux sur les hauteurs et par ci par là, des parties plages où sont installés des pêcheurs , nous en passons plusieurs d’accès faciles pour finalement opter pour une crique très abritée du vent mais où le débarquement s’avère plus scabreux (on ne peut pas tout avoir !).
Pique nique au soleil avec une température qui permet de se débarrasser des couches néoprènes , découverte de la mangue séchée (très bon d’ailleurs ….) et nous repartons pour 2 kms 500 environ jusqu’au pont qui marquera le retour avec sur le parcours et grâce au niveau très bas la découverte d’un tunnel, des vestiges d’un pont et d’ une ancienne foie ferrée.
Arrivée vers 16 heures au port, les familles sont là profitant également de cette belle journée sous les prunus en fleurs, les parkings sont pleins.
David avance le camion qui sera chargé rapidement pour un retour plus silencieux qu’à l’aller (une journée au grand air en pagayant ça calme) Arrivée à Décines vers 17 h 30 Une navigation bien sympa en somme, sans jet skis, sans embarcations à moteur, le grand calme quoi ….
Cette sortie en Mer Méditerranée a été organisée sous forme de Camp de base situé à Cogolin dans la baie de St Tropez, avec 9 kayakistes, pour une initiation à la navigation côtière.
Nous sommes donc partis du club le Jeudi soir à 18h, en ayant préalablement chargé les bateaux sur la remorque la veille, pour arriver dans notre maison d’accueil vers 23h30 avec une pause diner en chemin sur une aire d’autoroute.
D’attaque dès le Vendredi matin, nous nous sommes rendus à la Marina de Cogolin, qui jouxte Port Grimaud. En cette saison, le parking fermé par une barrière s’ouvre automatiquement et a suffisamment de place pour garer la remorque et le camion.
Le vent d’Est annoncé force 4, avec des rafales à 5, ne se fait pas sentir lors de nos préparatifs, car nous sommes bien abrités par St Tropez. Après un topo sur le trajet et les conditions qui nous attendent, nous embarquons et filons sur St Tropez en longeant de belles maisons ayant pignon sur mer…
Aux premières découvertes de rochers à fleur d’eau, nous nous entrainons à mettre le casque qui est attaché à l’arrière du kayak et à utiliser le gouvernail.
A l’approche du chenal du port de St Tropez, nous nous regroupons et étudions le meilleur moment pour passer sans risquer de croiser une navette ou autre navire.
Une fois passé le joli feu bâbord du chenal, nous attaquons la zone la plus exposée aux vents et à la houle annoncée entre 50 et 90 cm. Ce sont de belles conditions pour découvrir la force des éléments que nous affrontons de face, qui exigent concentration et navigation groupée et nous laisse par conséquent moins l’occasion de flâner à découvrir la ville que nous longeons.
Nous bifurquons rapidement le long du cimetière pour entrer dans l’Anse des Canebiers et retrouver une mer calme.
A la recherche d’un coin pour pique-niquer, nous finissons à côté de la Madrague, la maison de BB, sur un rocher entouré d’une eau claire turquoise. C’est à cette occasion que nous avons le plus profité du soleil du week-end, à l’abri du vent.
Une fois rassasiés avec l’excellent taboulé préparé par Lionel et Anne, nous continuons notre chemin pour passer le Cap Saint-Pierre, mais nous faisons vite demi-tour pour ne pas prendre de risque à l’approche de la Pointe de la Rabiou qui est très exposée aux conditions météo de cette journée.
Nous rebroussons donc chemin et amorçons notre retour par le même trajet, mais cette fois avec le vent et la houle dans le dos, ce qui effraie certains et ravit d’autres. Dans tous les cas, le gouvernail que nous avions bien vérifié et réglé avant de partir, s’est avéré être un précieux allié pour se diriger dans ces conditions.
Une fois St Tropez passé, la navigation redevient calme et nous rejoignons notre point de départ sans encombre.
Chargement des bateaux sur la remorque, quelques courses alimentaires et Véronique nous prépare un délicieux Rougail saucisses dans la maison où nous logeons et dégustons l’inévitable et excellente Tarte Tropézienne.
Après une bonne nuit de sommeil, nous partons en direction de la plage de Gigaro dans la Baie de Cavalaire, c’est le point de départ le plus abritée de la baie avec une météo similaires à la veille et des rafales montant jusqu’à force 6 au large. Nous posons le camion et la remorque sur les places le long de la route. La pluie par intermittence nous permet de descendre tranquillement les bateaux sur la plage et de nous préparer pour un embarquement avec un peu plus de houle que la veille : bon exercice !
Une fois tous sur l’eau, la pluie redouble ce qui provoque un paysage magnifique de pointes d’eau à chaque goutte qui martèle la mer.
Nous longeons paisiblement la côte bien à l’abri de ce vent d’Est et croisons un bateau à moteur, signalé par des bouées rouge et noir « danger », coulé jusqu’au toit, ce qui nous rappelle que les forces naturelles sont bien plus puissantes que nous…
Le passage de la Point du Brouis est bien venté avec une bonne houle de face d’au moins 90 cm, mais rapidement, nous nous retrouvons à l’abri sur la plage du Brouis. Le temps de reprendre des forces et nous partons à l’attaque de la Pointe Andati qui se révèle être encore un peu plus exposée aux vents et à la houle. Nous finalisons le passage de la pointe et allons narguer de loin le Cap Lardier… qui sera notre point de retour.
Le passage des 2 pointes précédentes avec la houle dans le dos nous permet de découvrir le surf poussé sur les vagues et là encore le gouvernail est bien utilisé pour redresser sa trajectoire.
De retour à la plage de Gigaro, nous profitons d’une légère accalmie pour débarquer les uns après les autres en gardant à l’esprit de bien sortir du bateau de façon à se retrouver entre la vague et le bateau et ainsi éviter que la vague nous pousse le bateau sur la cheville.
La pluie continue inlassablement et les nuages noircissent, ce qui nous pousse à arrêter et à ne pas entreprendre une navigation de long de belles criques en direction du club de voile de la Douane.
Nous pique-niquons finalement au camp et profitons de ce Samedi après-midi pour nous réchauffer au coin d’un feu de cheminée tout en découvrant de nouveaux jeux de sociétés.
Nous profitons d’une petite accalmie pour visiter le charmant village provençal de Cogolin en fin d’après-midi et finissons en beauté la journée avec une raclette !
Notre week-end de kayak s’arrêtera là, car le Dimanche, les vents passeront à force 6 de manière discontinue. Dans le voyage du retour à Lyon, nous longerons d’ailleurs la baie du côté de St Maxime et verrons les conditions de non pratique du kayak : vagues qui s’écrasent sur les digues et vents très forts !
Sous un ciel couvert voir brumeux, Véronique, Anne-Lise, Morgane, Lionel, David et Nicolas se sont retrouvés au club à 9h. Une fois les bateaux installés sur la remorque et les navigants dans le camion, ils ont pris la direction du Lac Aiguebelette, avec devant eux une heure de route (merci David d’avoir assuré les deux trajets).
A 11 heures environ, la petite troupe est prête. Une fois, un petit cookie mangé (merci Lionel et à sa pâtissière pour les douceurs) et le coup de sifflet du départ donné, tout le petit monde commence à s’aventurer sur un lac déjà bien rempli de kayakistes (course en ligne) et de quelques rameurs. Seul le soleil manque à l’appel (13° et quelques rafales de vent nord à 19 km/h)
Pour ce tour du lac, nous débutons côté Est jusqu’à au petite port proche de la plage d’Aiguebelette le Lac. Nous y croisons un groupe de paddle effectuant une course autour du lac.
Tout en douceur et sous un soleil pointant le bout de son nez nous longeons la rive sud jusqu’à l’embouchure du ruisseau du Thiez, que nous remontons jusqu’au barrage de Lépin-le-Lac.
Le repas du midi est pris à la plage de Lépin le lac une fois le ruisseau remonté.
Revigoré de gâteaux, pates de fruit et nounours (chocolat guimauve), le groupe de gourmant prend la direction de la Grande île pour en faire le tour avant de faire de même avec la petite île. Une fois la plage Sougey retrouvée, la rando se termine en longeant la rive ouest.
L’embarcadère est rejoint vers 15h30. Avant le retour, une courageuse se met à l’eau malgré l’absence remarquée du soleil. L’arrivée au club s’effectue vers 17h.
Informations sur le lac et les droits de navigation :
Après l’annulation de la session de 2020, nous voici partis pour la seconde édition de la Rhôn’Ô Lac.
Organisée par le CLBCK (Chambéry – Le Bourget – Canoë – Kayak), cette rencontre a lieu le week-end de pleine lune en septembre. Au programme: navigation sur le lac du Bourget, le canal de Savières et le Rhône, navigation nocturne accompagnée d’un groupe de musique et sortie libre ou organisée le dimanche.
Notre équipe se compose de Claude, Nadine, Anne, Lionel, Maxime, Alexandre, Jean-Louis, Peter et Momo.
Nous nous retrouvons au club pour un départ matinal vers 7h00, le temps de voir le jour se lever. Nous avons le camion du club et la voiture personnelle de Jean-Louis.
Nous arrivons sur le site aux alentours de 8h30, ce qui nous laisse le temps de décharger le camion, de récuperer nos kits de bienvenue et de profiter des boissons chaudes offertes, le temps que Lionel fasse la navette pour déposer la camion à l’arrivée.
Nous chargeons nos huit kayak de mer avec nos affaires de camping, une première pour certains qui réalisent qu’on peut y mettre beaucoup de choses tandis que le wavehopper de Jean-Louis est déjà prêt.
Après un léger retard de la navette dû à un accident, c’est le moment d’embarquer ! Il y a 160 participants sur des kayak, des canoë, des paddle et deux dragon-boat.
Nous voici donc partis pour 18 kilomètres sur une eau calme et un temps ensoleillé, nous laissant contempler le beau paysage qui nous entoure à loisir (petite cascade et grottes).
Midi et demie, nous arrivons à l’abbaye de Hautecombe où nous prenons notre pique-nique avant de la visiter. La visite se fait avec un audio-guide qui nous raconte birèvement l’histoire du lieu qui abbrite les sépultures des comtes de Savoie et des derniers rois et dernières reines d’Italie.
Une petite d’heure de navigation et nous voilà arrivés à la plage de Conjux où certains décident de faire une petite baignade avant de s’installer au camping.
Une fois l’installation faite, nous retournons vers la plage où nous retrouvons tout le monde pour l’apéritif composé entre autres de vin de Savoie et de fromages locaux.
Quelques stands sont présents, notemment Alpine Paddle qui nous présente ses pagaies groënlandaises et qui propose de les essayer pendant la navigation nocturne.
L’heure du repas arrive et au menu : tartiflette! Mention spéciale aux organisateurs qui ont demandé au restaurant d’à côté de préparer un burger végétarien pour les concernés qui ont demander en amont.
La soirée sous les chapiteaux et les lampions colorés commencait bien jusqu’à ce que la pluie viennent s’en méler, occasionnant des coupures de courant. Sans grande surprise, la navigation nocturne est annulée.
Le groupe de musique swing et folk de Balkans Elastik Circus qui attendait sur l’autre rive est rappatrié vers nous pour nous offrir un concert abrité.
Après une nuit d’orage, le réveil s’avère compliqué pour certains ou plutôt humide. En effet, la tente de la famille Rivet s’est revelée être non étanche, laissant l’eau coulée à travers la toile. Le point positif est que Nadine qui a dormi sous leur tente, a pu tester et approuver son nouveau lit de camp.
Nous nous retrouvons autour du petit-déjeuner, toujours sous la pluie accompagnée de l’orage. Le chapiteau où nous avons diner s’est effondré pendant la nuit sous le poids de la pluie et il n’y a plus de courant, oblgeant les organisateurs à faire des allers-retours au camping pour le thé et le café.
Devant les condtiions climatiques (orage et vent), la navigation de dimanche est annulée.
Nous patientons tranquillement jusqu’au repas du midi composé d’un buffet froid. Certains aident à ramener les dragon boat jusqu’aux remorques, d’autres contemplent le lac sur la plage. Nous disons au
Nous partons donc en début d’après-midi après un arrêt à la fromagerie où il y a des distributeurs de fromages!
Retour au club en fin d’après-midi sous le soleil.
Malgré une petite déception suite aux annulations, le week-end fût fort agréable avec une belle navigation le samedi. Nous attendons avec impatience l’édition prochaine.
En cet été 2021, après une année perturbée par une maudite pandémie, l’idée a germé de faire une belle rando avec nos amis du CKLOM. Une envie de Bretagne, d’une navigation un peu plus engagée et c’est parti ! François accepte de nous guider sur cette mer qu’il connaît bien pour l’avoir parcourue à la voile dans sa jeunesse et en kayak depuis quelques années : la mer d’Iroise, dont l’évocation du nom fait rêver tous ceux comme moi qui se délectent en écoutant la litanie poétique de la météo marine, qui a cessé d’émettre en 2016… La mer d’Iroise !
Nous étions huit au départ à répondre présent ; hélas, les aléas de la vie font que nous serons finalement six à tenter l’aventure !
Première étape : l‘archipel de Molène, connu pour ses forts courants qui cheminent entre les îles et qui exigent pour les kayakistes que nous sommes, une navigation avisée… Qu’à cela ne tienne, même pas peur… Lire la suite
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Acte 2 – Compte rendu de la rando kayak à la pointe du Raz et l’ile de Sein. Juillet 2021
Deux d’entre nous motivés par une semaine supplémentaire ont décidé de prolonger le plaisir jusqu’à la pointe du Raz et l’île de Sein. Voici leur récit :
JOUR 1 : 12 juillet 2021 : Le Conquet-Molène. Camping Les Blancs Sablons – Plage d’Illien
JOUR 2 : 13 juillet 2021 : Molène-Triélen
JOUR 3 : 14 juillet 2021 : Molène-Ouessant
JOUR 4 : 15 juillet 2021 : Tour de Ouessant
JOUR 5 : 16 juillet : Ouessant-Molène – Tour de Molène
JOUR 6 : 17 juillet : Molène-Le Conquet
En cet été 2021, après une année perturbée par une maudite pandémie, l’idée a germé de faire une belle rando avec nos amis du CKLOM. Une envie de Bretagne, d’une navigation un peu plus engagée et c’est parti ! François accepte de nous conduire sur cette mer qu’il connaît bien pour l’avoir parcourue à la voile dans sa jeunesse et en kayak depuis quelques années: la mer d’Iroise, dont l’évocation du nom fait rêver tous ceux comme moi qui se délectent en écoutant la litanie poétique de la météo marine, qui a cessé d’emettre en 2016… Nous étions huit au départ à répondre présent ; hélas, les aléas de la vie font que nous serons finalement six à tenter l’aventure !
L’archipel de Molène est connu pour ses forts courants qui cheminent entre les îles et qui exigent pour les kayakistes que nous sommes, une navigation avisée… Qu’à cela ne tienne, même pas peur !
Départ de Lyon le dimanche 11 au petit matin, les kayaks avaient été chargés la veille. Quatre conducteurs, 11h de route, c’est le sacrifice à faire pour atteindre le Conquet. Nous arrivons vers 19h au camping municipal des Blancs Sablons du Conquet, Jacques est déjà là, nous plantons les tentes sous une pluie battante ; Eh oui c’est normal, nous sommes en Bretagne et certains sont très contents, tout le monde n’aime pas le soleil méditerranéen ! Notre premier repas galettes bretonnes, se fera dans le local des douches en compagnie de … un flic kayakiste avec qui nous partageons quelques annecdotes.
Lundi, le ciel a pris des teintes allant du bleu au gris et la pluie a cessé ; il est 10h30 quand nous embarquons sur la plage d’Illien pour la traversée jusqu’à Molène, soit près de 12 miles marins (19 km). 12 miles, ce n’est pas la mer à boire, si on navigue sur le lac d’Aiguebelette, mais n’oublions pas que nous sommes en Bretagne avec ses courants marins semblables parfois à de véritables rivières sous-marines. Il faut pagayer dur, faire des bacs et choisir les bonnes passes ! La traversée est magnifique, des rochers tout autour de nous, notemment l’emblématique Rocher du Crommic entre Litiri et Morgol.
Le clou de la traversée c’est le contournement de l’ile de Morgol, difficile d’accès car séparée de l’archipel de Molène par le passage du Fromveur. C’est l’occasion de rendre visite au vieux phoque du secteur, énorme et impressionant , d’autres plus jeunes nous observent nous éloigner curieux, mais nous nous tenons à distance pour ne pas les déranger
Ce samedi 18 septembre à partir de 14h le club de Canoë Kayak de Décines Meyzieu vous ouvre ses portes.
Que vous soyez intéressés par le kayak polo, par la randonnée en rivière, en mer en eau plate, que vous soyez jeune ou moins jeunes, valide ou handicapé, vous pouvez pratiquez ce magnifique sport.
Le canoë-kayak est un sport de plein air, bénéfique pour le corps et l’esprit, qui peut se pratiquer aussi bien en compétition qu’en loisir, qui peut se faire en eau calme, en eau vive mais également en mer.
Des bénévoles seront à votre disposition pour en parler avec vous et répondre à toutes vos questions. Nous vous attendons nombreux !
Cette année encore, le club de Canoë Kayak de Décines Meyzieu (CKDM) vous invite à la 3ème édition du Kayak’n’run.
Kayak’n’Run by CKDM, c’est une course à pied de 5km suivi d’un parcours de 3km en kayak. Venez défier vos amis sur cette course atypique à la périphérie de Lyon. Parcours 100 % vert, 5 Km de course à pied au départ du club de kayak, course sur l’anneau bleu.
Embarcation en kayak au niveau du pont d’Herbens, puis 3 Km de kayak sur le canal de Jonage jusqu’au club de kayak, lieu d’arrivée. Tout cela sans rencontrer une seule voiture, que demandez de plus ? Lors de ce biathlon, 3 courses vous seront proposées, une course adulte, une course de groupe (6 personnes) et une course -18 ans (format différent, 3km de course et 1 km de kayak).
Top départ !
Elle est pas belle la vie ?
Tout le monde est le bienvenu, venez avec vos amis, votre famille et tous ceux prêt à partager un agréable moment. Alors, retenez cette date pour venir profiter du soleil au bord et sur le grand large, tout ça dans une ambiance festive, car c’est cela l’essentiel.
-> Pour connaître l’Itinéraire, les tarif, les horaires et pour vous inscrire, cliquez sur le lien Helloasso
Période : Sortie sur un week-end de 3 jours du Vendredi 26 au Dimanche 28 Mars 2021. Participants : David, Claude, Max, François, Nadine, Jacques et Pascale. Conditions météo : Nous sortons de l’hiver et entrons dans le printemps avec des températures en hausse et un soleil de plus en plus présent. Seule crainte le vent va vouloir être de la partie !
Etapes clés : Cette sortie, dans le contexte sanitaire de la pandémie du Covid-19, est bien le reflet de l’indéfectible désir et de la volonté de ce groupe de 7 personnes à aller naviguer au grand air sur l’eau salée ! Suite aux tests PCR négatifs et à la préparation du matériel la veille du départ, nous décollons du club à 7h30 direction Bandol à 5 dans le camion et 2 dans une voiture.
La mise à l’eau se déroule au parking Deferrari à Bandol, malgré une hauteur limitée à 1m90 à l’entrée du parking gratuit. Nous trouvons de la place dans la rue pour garer le camion et la remorque sur 2 emplacements face à l’île de Bendor.
Nous commençons notre périple en direction de la baie de la Ciotat sous un ciel couvert avec un vent d’Est dans le dos. Nous admirons les falaises de cette partie de la côte en passant l’ile Rousse et en trainant dans la baie de la Moutte avec son rocher géant en forme de Galère ou de sous-marin.
Nous passons la Calanque du port d’Alon, direction la pointe Fauconnière juste avant St Cyr sur mer. Nous rebroussons chemin jusqu’à Calanque du port d’Alon avec le vent de face qui a forci (force 3) et une houle un peu plus marquée qui nous permet de nous préparer à la suite du week-end. Le bivouac au port d’Alon est protégé et nous offre un havre de paix.
La nuit est fraiche et humide car le ciel s’éclaircit pendant la nuit. Nous partons au petit matin sous un grand soleil propice à des exercices de récupérations.
Nous revenons jusqu’à la plage de Bandol où se trouve notre camion.
Max et Pascale décident de s’arrêter car un vent de force 5 est annoncé pour la traversée de la baie de Sanary. Ils nous permettent ainsi de faire une navette entre Bandol et le Brusc à Six-Fours-Les-Plages. Nous voilà donc parti à 5, direction la pointe de la Cride, entre Bandol et Sanary, puis pour une longue traversée de 6 miles en 1h30 jusqu’à l’Archipel des Embiez avec une belle houle et un vent d’Ouest de travers qui nous a permis de nous entrainer à naviguer de front sur une même ligne afin de garder un œil les uns sur les autres.
L’île du Grand Rouveau devient notre objectif pour faire une halte et reprendre des forces, en visitant son phare, avant d’aller rejoindre le Brusc. L’étape est délicate, car le vent et les vagues nous poussent dans le dos. Mais avec les conseils avisés de François nous passons sans encombre entre les Embiez et l’île du Petit Rouveau.
Arrivée au Brusc, nous retrouvons Max pour aller chercher le camion avec Jacques, pendant que François, Nadine et Claude poursuivent à l’abri du vent sur la lagune, zone autorisée uniquement aux kayaks et paddles. Nous croisons des kayakistes du club de Six-Fours-Les-Plages qui nous conseillent de planter la tente aux « Jardin de la Ferme » situé à moins de 2 kilomètres et qui a le mérite d’être ouvert toute l’année. Nous suivons ce conseil avisé et posons nos affaires sereinement dans ce bel endroit arboré et dans lequel nous sommes chaleureusement accueillis. Nous avons alors le temps de nous promener dans les alentours avant le couvre-feu de 19h. Le lendemain, nous nous levons aux aurores (il fait encore nuit du fait du changement de l’heure d’été) et sommes les premiers à mettre nos bateaux à l’eau. Nous entamons alors le tour de l’Archipel des Embiez par une journée ensoleillée, très calme sans vent et sans houle. C’est une belle occasion de pratiquer des exercices d’esquimautage.
Nous contournons les Embiez, L’île du Grand Rouveau, les Magnons et finissons notre tour de l’Archipel.