Cinéma en plein air au CKDM le mardi 23 mai

Prochainement, le mardi 23 mai, le CKDM est partenaire d’un événement sur notre site de pratique. Avec les associations « Komplex Kapharnaum » et « Météorites », nous organisons la diffusion d’un film en plein air, « un chef d’oeuvre Polonais »  d’après mes sources!
Plus qu’une simple diffusion, cet événement s’installe dans un projet développé par l’association Komplex Kapharnaum qui propose des actions culturelles dans des lieux atypiques le long de la ligne de tramway T3 afin de faire découvrir des espaces sur l’agglomération et favoriser la rencontre entre différents publics de différents territoires.
La soirée commence vers 19h30 avec des initiations kayak au CKDM. Le film sera diffusé vers 21h30, à la tombée de la nuit. Komplex Kapharnaum propose un rendez vous à la sortie du tramway Décines Grand large et amenera les participants sur notre site.
Je vous invite donc à participer à cette belle soirée atypique sur notre site de pratique. Une décoratrice devrait aménager notre site le temps d’une soirée. Rendez vous, à la station de tramway du Grand Large à 19h00 pour vous laisser guider d’une manière théâtrale jusqu’au site ou bien rendez vous directement au club. Nous vous invitons à venir sans voiture puisque le site du club sera occupé par le cinéma en plein air et une petite buvette! 

Ecole de pagaie pour les adultes

NOUVEAUTÉ 2017 !!

En partenariat avec le Club de Villeurbanne, le CKTSV, nous proposons une école de pagaie pour les adultes! Encadré par un moniteur, nous accompagnons les débutants souhaitant progresser en eau vive en proposant des acheterdufrance.com séances régulières en bassin et des sorties adaptées. Retrouvez les dates de ces séances sur notre calendrier 2017 ou en visitant la page de l’école de pagaie adulte. 

Les beaux jours sont là et notre école de pagaie est lancée! Débutant ou initié, poloïste ou randonneur, nous vous invitons à participer à des séances en bassin artificiel et rivière naturelle le weekend et à découvrir ou vous perfectionner dans d’autres supports le mardi soir et quelques mercredi soir. Au programme, de l’initiation et du perfectionnement à Saint Pierre de Boeuf, des rivières écoles dans les Alpes et Bourgogne, du bateau de descente sur le Grand Large, et ses alentours, de l’initiation au slalom et au freestyle en eau calme, 2 séances d’esquimautage et un atelier sécurité. Pour y participer, c’est simple, inscription sur le doodle pour les adhérents du club.

Pour toute information complémentaire, contactez Blaise au 06 29 22 64 90

 

 

OBJECTIF GRECE Mars 2017

OBJECTIF GRECE 2017

17 Mars –1er Avril

Après plusieurs mois d’attente, nous y voilà enfin. L’équipe enfin formée se retrouve au complet ou presque à Chambéry, point de Départ de notre aventure. Sont présents, des Lyonnais des club de Villeurbanne et Décines, des Parisiens du club de Vaires sur Marne et un savoyard du club de Chambéry : Pierre-Yves, Blaise, Micka, Clément, Marc, Thibault, Fanny, Sam, Samuël, Jean Marie, Maud et Nicolas que l’on retrouvera directement dans la pampa Grecque.

Notre objectif : découvrir un pays méconnu pour ses rivières, manger des pitas, naviguer au mois de mars sans avoir froid et affronter le long et majestueux canyon d’Aoos…  Tous les objectifs seront étroitement atteints car dans les montagnes Grecques, l’hiver y est parfois rigoureux…

Départ pour tous le vendredi soir et direction Chambéry où nous serons accueillis comme des rois par Jean Marie et sa femme. L’idée est de faire une petite halte avant de rouler direction d’Ancône en Italie où notre ferry nous attend pour 16h00. Grand luxe dans le bateau Grec avec la discothèque qui se transforme en dortoir pour le groupe.

 

ACHERON

Fatigués mais impatients, nous longeons les côtes Grecques au petit matin et à peine sortis du ferry, nous nous dirigeons vers L’Acheron, notre première rivière. Bonheur, le soleil est là, il fait chaud et l’eau coule dans la rivière, ce n’est donc pas une légende, il y a bien des rivières à naviguer en Grèce. C’est parti pour la navette …du classe 6…. Encore novice et inexpérimenté du pays, tout le groupe s’est laissé surprendre par les difficultés rencontrées… Une carte et un GPS ne suffisent pas, nous aurions dû brancher nos cerveaux !! Nous nous engageons à 11 dans le camion avec la remorque pour rallier le point de départ. Après 45 mn de lacets, nous engageons une piste… (raccourci sur la carte …) Erreur qui aurait pu être fatale dès le premier jour. Le coach a failli faire une crise cardiaque en pensant perdre le camion, la remorque ou les deux ! Bref il nous a fallu 3 heures pour rallier le point de départ…

Une fois sur l’eau, la rivière est splendide avec des gorges profondes et serrées de classe 3, passage 4. A noter quelques siphons et un infran. Le soir nous bivouaquons au débarquement et ce sera le premier d’un des nombreux sublimes bivouacs de notre séjour.

LOUROS

Ayant ouï dire qu’il y avait de l’eau dans le Péloponnèse, nous nous mettons en route vers le sud pour en profiter ! Nous ferons une petite étape intermédiaire sur le Louros, rivière plutôt méconnue et la moins intéressante du séjour. C’est la seule rivière que nous ayons fait où nous ne sommes pas dans la pampa car la route suit tout le long. Après une première section très plate à travers des branches et des cadavres d’animaux, nous entamons une section bien plus jolie et navigante avec 2 rapides de classe 3 – 4 que nous ne soupçonnions pas ! A tel point que notre ami Mickaël avait décidé de naviguer en slip en mode touriste de l’Ardèche… Nous avions également proposé à Fanny, débutante, de faire le parcours en kayak et non en airboat…. Au final, elle s’est plutôt bien débrouillée sur le classe 3 – 4 !

LOUSIOS et ALFIOS

Nous continuons la route vers le sud en direction du fleuve Alfios qui traverse une partie du Péloponnèse.  Sur la carte, ça semble à côté, mais en voiture, tout est long ! Après une courte halte à Patras, nous retrouvons Nicolas au sud du Péloponnèse, à proximité de Kalamata. Il est déjà tard et notre point de chute, départ du Lousios, est encore loin. Les routes sont de plus en plus mauvaises et nous nous arrêtons dans un hameau au milieu des montagnes, entre 2 pistes. Le lendemain, nous repartons à la recherche de la rivière et c’est tout de même plus facile de jour ! Nous embarquons sur le Lousios pour y naviguer 3 km avant qu’elle ne se jette dans le Alfios que nous naviguerons sur une dizaine de kilomètres. Parcours, une nouvelle fois de toute beauté avec une végétation dense sur les parois et une nouvelle fois des belles gorges verticales. Le parcours est relativement simple, mais fort agréable à naviguer.

Le soir, super bivouac à côté du pont Turc du départ et dans l’excitation du montage de camp, PY se fait une cheville… Ce qui permettra à Blaise de retrouver son appareil photo !! Ne cherchez pas le lien, ce n’est pas évident, mais il y en a bien un ! Malgré ces déboires, nous passons une soirée fort sympathique avec un excellent repas concocté par nos cuistos, Micka et Clem.

Le lendemain, nous décidons pour certains, d’embarquer plus haut sur le Lousios et de débarquer plus bas sur le Alfios, afin d’éviter une piste pour la navette. Au programme 30 km de navigation… Le haut Lousios, c’est de la rivière sportive, spécialement, les passages des « Cerberos », puisque la pente s’accentue sérieusement avec 1 gros seuil d’entrée et 1 rapide labyrinthe au milieu des blocs entre 2 autres seuils un peu casses gueules, puis un rapide final.

Nous retrouvons le reste du groupe pour la deuxième partie de la descente et nous pagayerons jusqu’à Sekoulas. Au débarquement, Nico et Blaise font les cagoles au bord de la route avec leur splendide tenue polaire Cetelem.

ERYMANTHOS

Un des classiques Grec, c’est l’Erymanthos. Il se situe dans le Péloponnèse et se jette dans l’Alfios. Comme toute belle rivière, elle se mérite… Et son accès mérite réflexion puisque le départ et l’arrivée se situent après 7km de piste. Encore une fois, arriver de nuit sur une piste, ce n’est pas de tout repos ! Nous bivouaquerons donc non loin du départ du « Conglomerate Canyon ». Le lendemain, la rivière est splendide et nous ferons le parcours le plus simple : une dizaine de kilomètres de classe 3 avec des endroits très serrés et des parois en agglomérat atypique. Le débarquement se fait dans un village situé entre 2 pistes, qui nous rappelle vaguement le village dans le film de Délivrance avec le joueur de Banjo.

Le lendemain, 8 partiront visiter le site d’Olympie, tandis que 4 kayakistes se lanceront à l’assaut du haut Erymanthos. Une belle navigation ensoleillée de 24km se profile… Nous partons depuis le village de Tripomata et nous nous élançons pour 12 km de classe 3 – 4 – 5 dont une grande partie est engorgée. Bien qu’oppressant, le milieu du parcours est de toute beauté en termes de paysage et de navigation. Nous nous retrouvons à 4 kayakistes, entre 2 maitalon pille zur verhütung | ohnerezeptfreikauf parois verticales, prêt à affronter les rapides qui s’y trouvent. Des seuils, des belles lignes mouvementées et slalomées, 1 ou 2 must run et 0 infran ! Bref, que du bonheur. Attention tout de même au premier rapide bien avant l’entrée des gorges, qui peut être dangereux, même s’il ne paye pas de mine. Il s’agit d’une étroiture avec siphon. Le portage est facile et en rive droite. Après cette intense section, nous retrouvons le parcours du conglomerate canyon que nous descendons d’une manière décontractée : belle tentative de sabotage de Blaise qui a ouvert le bouchon du kayak de Nicolas, qui au bout de 12 km se demande si sa belle et neuve combinaison sèche ne prendrait pas un peu l’eau…

Arrivée dans le village de Délivrance : le bar du village nous servira de la bière, des patates et du porque (spécialité locale : mixture de viande de porc conservée dans sa graisse, et recuit avec des œufs brouillés).

Nous retrouvons le reste du groupe dans la nuit, pas très loin d’une autre rivière du Péloponnèse : le Sélinous. Mais celle-ci était quasiment sèche et marquera la fin de nos aventures dans le sud du pays.

ARACHTOS ET KALLARITIKOS

Samedi, journée off en kayak. Nous déposons Fanny à Patras. Elle rentrera en avion. Nous reprenons notre longue route et nous traversons la Grèce, direction le nord pour y trouver d’autres rivières en eau.

En de journée nous arrivons aux bords de l’Arachtos. Encore une fois, nous trouvons un excellent bivouac. A la surprise du groupe, nous sommes au pays du kayakiste : boite de rafting et d’autres kayakistes sont présents dans la zone.

Parti à la pêche aux informations, Blaise et PY rencontrent par le plus grand des hasards, Yanis, un guide grec avec lequel nous échangions depuis le départ par SMS. C’est avec lui et sous ces bons conseils, que nous planifions la suite du programme et notamment la gorge de 45KM d’AOOS.

Step by step, la navigation du jour, c’est le Kallaritikos suivi de l’Arachtos. En réalité nous naviguerons même sur une troisième rivière inconnue aux bataillons car nous nous trompons d’embarquement. Le plus drôle, nous nous apercevons de ce détail le soir après la navigation. Nous embarquons 1km en amont sur un petit affluent type Gyr mais sans eau. De retour sur le parcours prévu, nous rentrons d’abord dans les gorges du Kallaritikos, blanches, belles, majestueues. Nous enchainons avec les gorges de l’Arachtos, plus large : un bonheur à naviguer. Une agréable journée de navigation en classe III/III+.

Le lendemain, nous restons sur la même rivière mais nous partons avec le bon embarquement ce qui nous permet de faire 500m de classe IV. Notons la première expérience en tant que barreur en Hotdog de PY avec Thibault en coéquipier. Expérience concluante.

 

AOOS PART 1

Cap sur AOOS, pays des Ours … Blaise est en transe …45km de navigation composé de 2 sections en classe III/IV/V totalement isolé avec juste un pont entre les 2 sections.

Nous arrivons le soir à Vovoussa après une longue route parfois enneigée au passage de cols. L’ambiance est maussade, pluvieuse et froide … nous nous réfugions dans une taverne. Le soir le groupe se scinde en 2 catégories : les puristes qui affrontent les conditions extrêmes (pluies, froid, ours) dans leurs tentes et les pleutres dormant au sec et au chaud dans une maison. Les conditions sont si extrêmes qu’elles obligent Blaise à dormir dans sa sous couche de combinaison Cétélem, ce qui lui permet d’être le premier en tenu de combat le lendemain…

Le matin, il y a grosse réflexion sur l’embarquement aux vues de conditions météo pas très engageantes. Malgré les bons conseils de Marc (embarquer à 14h pour un parcours de 30km méconnu), nous embarquons vers 11h00 pour se donner plus de marges…

La navigation commence tranquillement. Tous les 200m des affluents remplissent la rivière. Le cadre et l’ambiance nous rappelle le Mordor … au bout de 8 km, les choses sérieuses commencent, nous rentrons une section plus engagée (repérage, sécu, pissette, portage …) S’en suit une section plus calme, où tout le monde se relâche, erreur une dernière grille de classe III (dixit Marc) disons du IV en réalité se profile à l’horizon. Au final cette première section a été intense pour le groupe, nous ferons la suite dans 2 jours, histoire de se reposer après toutes ces émotions.

Un grand merci aux navettistes qui nous ont permis de faire cette section :une centaine de km … avis aux amateurs. Mais eux aussi ont trouvé le moyen de pratiquer le kayak dans les pentes de la montagne d’Aoos!

VOIDOMATIS

Le lendemain, nous naviguons sur le Voidomatis … et cette fois c’est JM qui est tout excité car il attendait cette rivière depuis 4mois. Départ dans le magnifique village de Vikos, après 45mn de portage en descendant un chemin de randonnée serpentant sur la montagne pour atteindre la rivière. Pour refroidir les corps, nous nous baignons dans la vasque de résurgence. L’eau est transparente, cristalline, froide mais magnifique. Tout au long du parcours, nous voyons le fond de la rivière avec netteté quel que soit la profondeur.

Parcours sans grosse difficulté mais à faire pour la beauté de l’eau et du paysage. Bivouac à l’arrivé du Voidmatis à côté d’un pont turc … superbe mais nous apprenons le lendemain qu’il est interdit de bivouaquer à cet endroit et qu’il faut se signaler à l’office de tourisme pour naviguer librement sur les parcours du Voidomatis et AOOS.

AOOS PART 2

Nous nous élançons dans la suite du parcours d’AOOS. Ce parcours est plus court que le précédent mais les difficultés sont plus concentrées.  A mi-parcours, un passage infran, pour le reste un parcours de classe III à V. Pas loin de l’arrivée au milieu de la rivière une pelleteuse, nous sympathisons avec le conducteur et prenons quelques photos.

ACHERON

La fin du séjour s’annonce, nous repartons pour la dernière journée naviguer sur l’Archeron. Marc sentant le défaut d’eau sur la rivière se propose de nous faire la navette en tentant la piste en montée … il a oublié les heures pour franchir cette épreuve … échec au premier virage soit au bout de 10m …. Ceci clos note séjour en Grèce, nous abandonnons Blaise à Igoumenitsa et le groupe se prépare à long et dur voyage d’Igoumenitsa à Ancône en Ferry puis Ancône à Lyon en camion.

En conclusion, nous retiendrons 2 semaines de plaisantes navigations exotiques, mais accessibles.  La Grèce est un pays très montagneux avec les nombreuses failles où coulent les rivières. Nous avons exploré qu’une petite partie de ce que ce pays offre en termes de navigation et certains d’entre nous y reviendront…

T0 BE CONTINUED….

 

Pour plus d’informations, je vous invite à lire l’excellent blog tenu par Jean Marie ! 

 

Made in Pyrénées

22 avril – 30 avril 2017

Samedi 22 avril : la Têt

Départ du CKTSV à 9h30. Rendez-vous avec Anna à l’arrivée de la Têt à 13hh00. Nous la retrouvons donc à 15h00. Nous sommes au complet : Jérôme El Présidente, Christelle la Femme du Président, Anna l’Instit Spécialisée, Nico le Chasseur de rapace, Stéphane le pilote, JS le fayot du Coatch, et Blaise le Mono….

Nous embarquons sur la Têt, une poubelle de Granite rose noté 2 étoiles avec un arbre dangereux, 1er portage du mono et premier esquimau de l’ado. Gros bain de Nicolas dans un rapide de classe 2+, perte de la pagaie dès le premier jour. Le mono explore la grotte où se trouve certainement la rame…  Le président se sacrifie et finit la rivière à main nue …. à l’ancienne.

Premier bivouac difficile à Font Romeu, voir hostile, avec des chambres à moitié chaudes et une vue sur le plateau de la Cerdagne. Estimation du bivouac, 1,2 millions, chez Jean Marc. Nous reviendrons…

 

Dimanche 23 Avril : Le Rio Sègre

Fouasse préparée par Anna, sous couvert de la Grand-mère, au petit déjeuner. Sous les bons conseils de Grégory, le local et collègue du mono, nous nous dirigeons vers le Rio Sègre pour affronter ses terribles gorges. C’est tout de même avec tristesse que nous abandonnons notre bivouac.  La veille, le mono a proposé un jeu avec des règles strictes pour éviter tout ambiguïté. Des points négatifs pour des erreurs de navigations, refus, portage et sketches … Des points positifs pour la sécurité, les figures … bref un barème taillé sur mesure pour le mono.

Sur le Rio Sègre, le barême prend tout son sens et des premiers points sont vites gagnés et perdus par les participants. Les écarts se creusent dès le deuxième jour :  Nicolas au barrage, passe à gauche, à environ 15m de la trajectoire de gauche et de la sécu, alors qu’Anna suit avec précisions les conseils du mono. Suivent 2 passages 5 et les premiers points de portage et d’esquimau tombent : pas de nom ….  Débarquement très bien choisi par le coach qui après avoir franchi un grillage façon commando, se retrouve dans un verger. Une autochtone nous indique un chemin. Dommage, nous n’aurons pas le film du président coincé entre le sol et le grillage en mode commando.

Le soir, on fonce direction la Pallaressa, bivouac au-dessus du rapide du pastis sans le savoir. Soirée électorale : Trois quart du groupe est éliminé, le Trotskiste est sous Lexomil…. 2 sont en finales…. Petite pensée pour le secrétaire…

Lundi 24 Avril : Pallaressa 

35 km de navigation. De Llavorsi aux défilés des Collegates. Belles gorges avec gipettes, vautour fauve, aigle royal, Condor Andin, perdrix andalouses… Bref tout un panel d’oiseaux …. On a perdu Nicolas …. Question navigation, il a mangé du lion au petit déjeuner notre chasseur de rapace. 0 points de Nicolas sur les terribles 800 m et rapide de l’éléphant, probablement grâce à une excellente prise en charges du mono. Gros regrets de l’Ado de ne pas avoir pris son Astro pour aller jouer dans le rappel de Sort: 30 m de larges, 10 m de rappel de long.

L’après-midi, Nicolas goute « le Pastis » Stéph a absolument tenu à ce qu’on lui compte ces 5 points d’esquimau tandis que le beatnik lui passait sur la face. D’ailleurs le rapide du pastis fait débat dans le groupe : « Je pense qu’on vient de passer le Pastis ? » suggéra le président. « N’importe quoi, y a une passe à droite dans le Pastis. Toi t’y connais rien, tu n’étais pas là en 2008. » Au bout de 3 bornes, le Mono envisageait qu’on venait de le passer depuis trois quarts d’heure et Christelle retrouva le sourire.

Débarquement après la sublime gorge des Collegates. Mais quel con ce Blaise qui suggère au groupe, un arrêt dans les ronces et un portage dans une pente 60°, tout ça pour éviter la plage de sable fin judicieusement choisi par les personnes compétentes !

Mardi 25 avril : la Haute Pallaressa

Nous prenons les renseignements auprès des autochtones locaux qui nous mettent en garde sur le rapide Don Cabron de la « upper Pallaressa ».  Embarquement pour un groupe surmotivé dans un abri à poubelle par un temps pluvieux et froid.

Le mono conscient de son avance de points dans le jeu et dans un excès de sympathie pour le groupe décide de baigner 100 m après le départ après un seuil de 0.78m. C’est parfait pour se mettre en confiance.

La très haute Pallaressa est une rivière qui courre vite et le groupe tendu attend désespérément de passer le rapide Don Cabron pour se rendre compte qu’il l’avait déjà passé avec brio. L’atmosphère se détend, la navigation aussi. Récupération du reste de la team à Isil pour naviguer la deuxième section.  Pendant le repérage d’un drossage conséquent, JS relâche son attention, et laisse son kayak partir doucement dans le courant. Ce dernier fini à la nage pour récupérer son bateau. Le groupe dans sa grande générosité comptabilisera cette action comme un sketch et non comme un bain. Pour le passage de ce drossage, chacun choisi sa ligne. Le pilote aussi, choisi sa ligne : bateau sur l’épaule droite et portage sur la route. Les filles se concertent, délibèrent, échangent et choisissent la même ligne.

Le soir, direction le rio Esera sous la pluie diluvienne qui s’abat sur l’Espagne. Nous nous dirigeons vers une auberge pour gouter les mets locaux : pizza surgelée, raciones  du pays… Mais nous étions bien contents de manger chaud.

Mercredi 26 avril : Rio Esera

Des francos espagnols non kayakistes nous indiquent que le parcours des gorges de l’Esera est interdit…. Nous embarquerons tout de même dans les gorges pour un parcours avec peu d’eau mais magnifique. Journée difficile pour Christelle qui baigne à 2 reprises dans du 2+, mais enrichissante en point pour le mono qui emmagasine du point. Arrivé au barrage, personne ne tente le raccourci du trou siphonnant et nous portons le barrage par la route malgré la richissime idée du président de descendre le barrage par l’échelle.

Le 2ème parcours est plus en eau. Le ciel s’assombrit et nous nous réfugions sous un pont pour éviter la grêle. Nous approchons du fameux rapide des pyramides où Nicolas baigne au seul endroit siphonnant du parcours. C’est tout une équipe qui se précipite pour secourir notre chasseur d’aigle.

Une rivière en mode duralex, pas un souvenir impérissable du probablement aux conditions fraîches ….

 

 

Jeudi 27 avril : off pour tout le monde

Après la première nuit gelée du séjour, on fonce sur la Cinca avec l’option de la Cinqueta …. Le froid, le vent et le manque d’eau nous font opter pour une journée off.

Cependant nous sommes partis repérer le terrible parcours des dalles sur l’Ara … très haut, très froid. Réchauffé par le soleil, nous mangeons au départ du parcours.

Nous observons parmi les plus prestigieux rapaces d’Europe pendant que certains jouent au Dawak … une mémorable prestation de JS. Le président sur son siège observe la situation.

Repérage du parcours du bas pour lutter contre les traumatismes d’Anna sur cette rivière en 2016.

Le soir, le froid nous transit, nous faisons du feu dans un bivouac de rêve … à la nuit tombée, la Guarda civile et la police du parc nous tombe dessus, avec tout son charme. Fin de la fête ! On bouffe du riz foiré, debout et dans le froid.  On va se coucher.

Vendredi 28 avril : Rio Ara

On se lève, il fait froid… très froid. Mais le beau temps nous lance sur le Rio Ara, en laissant le Junkie en combi néoprène sur le bas-côté au départ. C’est donc à 3 que nous nous lançons à l’assaut du haut Rio Ara. Ce fut un parcours splendide avec une eau bleue transparente comme décrite dans les livres, ponctué par trois grands rapides : la Passerella, le mini formule 1 et le Formule 1. Un perfect pour notre trio, notons tout de même le stop très technique et presque annoncé du président puis du coach dans le célébrissime « formule 1 »

On part à fond sans les clés de la navette dans le parcours suivant, une magnifique gorge. Ce sketch sera sanctionné par une perte de point considérable bien qu’il sera difficile au groupe de trouver des coupables… L’entrée de la gorge un barrage à porter … le président porte à sa manière en rive gauche en enjambant et escaladant le barrage, tandis que le groupe porte à droite en suivant le chemin. Il a le coup d’œil le président…

Vient le premier rapide … du repérage, de l’hésitation, mais tout le monde engage … un par un. Certains réussissent leur ligne, d’autres esquimautes et d’autres nagent …

Au cours de la descente alors que l’ouvreur passe à droite, Nico tente la passe à gauche à titre d’exercice … sur les conseils du Président. Bloqué dans le rappel en réception d’un seuil, Nico se bat, puis fini par nager … sketch … aidé par le fautif en vain, le mono en mode plongeur encordé sans corde plonge récupérer, Nico sors … au bout d’un certain temps …

La rivière se calme, s’élargit, l’attention se perd et le drame arriva : 2 bains magnifiques dans du classe 2+ … C’est à ce moment-là que nous nous rendons compte que les clés de la navette se trouvent dans le camion en haut.

2 groupes s’organisent, l’un pour la navette, un deuxième finissant la rivière. L’équipe de la navette retrouve PY en slip sur un banc au soleil. Navette impeccable en stop…

L’équipe finissant la rivière perd Nico qui a débarqué pour observer les oiseaux … il se perd lui-même pour retrouver son bateau. Une navigation à rebondissements qui prendra 6h pour 4Km. Nous allons essayer de rentrer dans le Guinness book.

Malheureusement, l’une d’entre nous, Christelle atteint par un virus inconnu tombe malade et passe une nuit très difficile.

Samedi 29 : retour sur la Pallaresa

Fuyant le froid, et cherchant de l’eau nous retournons sur la Pallaresa. Nous commençons par la partie classique avec le passage des 800m. Anna ouvre le parcours et Nicolas navigue avec brio. Les troupes sont réduites, décimées et certains ne naviguent pas mais n’auront pas de points négatifs de refus de parcours grâce o leur « certificats médicaux » et « l’indulgence du groupe ».

L’après-midi, seul le président et le mono s’élancent à deux dans le parcours de la Haute Pallaresa de Isil à Boren. Anna très courageuse et audacieuse voit une bonne occasion de reprendre des points et décide d’embarquer à mi-parcours. C’est le duel final entre les premiers du classement et d’un commun accord, nous proposons une règle spéciale : « débarquer, c’est tricher ». Au final, une navigation très rapide, assez pentue et forte agréable qui nous font finir le séjour en beauté.

Le soir direction Font Romeu pour bivouaquer chez Jean Marc, le père de JS comme le premier soir. Sangria, Bœuf carotte, glace au lait de brebis … la boucle est bouclée.

Voilà un excellent séjour qui se termine. Ce fut l’occasion pour le groupe de découvrir les Pyrénées et ses terrains de jeux aquatiques allant de la classe 2 à la classe 4+. Nous reviendrons explorer ce terrain de jeu puisque l’Ariège et les Hautes Pyrénées restent à découvrir !

 

Compte rendu collectif, écrit par Jérôme, Stéphane, Anna, JS, Pierre Yves, Christelle, Nicolas et Blaise.

Stage jeunes « sur les traces du Var » … 17 au 20 avril 2017

Lundi 17 Avril – écrit par Blaise

Départ du CKDM vers 9h00. Nous prenons la direction des Alpes du sud pour un stage de 4 jours dans la vallée du Var. Nous sommes 12 jeunes venus de 3 clubs différents dans le département du Rhône : Yanis, Céleste, Erwan, Nikoloz, Aurore, Thomas, Rosalie, Lily, Léo, Baptiste, Romane et Matisse.  Nous sommes encadrés par 3 adultes qui travaillent pour les clubs du CKDM et SVV : Noé, Abel et Blaise.

La route est longue, mais nous arrivons finalement à bon port, dans le joli village d’Entrevaux avec sa belle citadelle Vauban qui le surplombe. Après le pique-nique, nous avons tous hâte d’embarquer et naviguer sur le Var en cette belle journée ensoleillée. Le parcours n’est pas exceptionnellement difficile, mais pour beaucoup, c’est une première expérience en rivière naturelle et cette première journée sera marquée par de nombreux bains ! Notre parcours commence à Entrevaux et se finit à proximité de Puget-Théniers.

Le soir nous rejoignons le camping, où un bon repas préparé par Isabelle, une restauratrice locale, nous attend. Montage de tentes dans la nuit, puis au lit pour un repos bien mérité !

Mardi 18 avril – écrit par Rosalie

En ce mardi ensoleillé, nous prenons un bon petit déjeuner improvisé avec ce que nous avions dans la malle d’Abel !  Après avoir fait sécher nos affaires et fait quelques courses pour la suite du séjour, nous partons en fin de matinée pour 10 km de navigation sur le Var de Touët à Malaussène. La navigation s’est bien mieux déroulée que celle de la veille, si bien que certains ont prolongé le plaisir jusqu’à la confluence de la Tinée, ce qui nous a permis de traverser des somptueuses gorges. Nous sommes arrivés à bon port malgré quelques personnes qui se sont retournées pendant la descente. Nous sommes rentrés au camping vers 17h30 pour le groupe qui s’est arrêté et vers 18h15 pour celui qui a continué. Nous avons ensuite pris nos douches puis nous avons mangé le repas gentiment préparé par Isabelle. Nous regagnons nos tentes vers 22 heures.

 

Mercredi 19 avril – écrit par Aurore

Le mercredi matin, une sortie facultative est proposée, à laquelle je participe (Aurore). Nous partons donc aux environs de 9h du camping, après avoir déjeuné, et nous nous rendons dans les gorges de Daluis, une vallée encadrée par des falaises abruptes de roches rouges, (contrairement au reste de la région où la majorité de la roche est grise blanche) et entre ces deux parois serpente le Var dont les eaux rapides sont d’un bleu très clair. C’est ici que nous naviguons, entre le village de Guillaume et le village de Daluis. Le parcours est magnifique et le soleil est au rendez-vous. Heureusement car il fait très froid ce matin-là !  Nous descendons des rapides de classe 2 et 3 pour traverser l’ensemble des gorges. Le parcours est plus mouvementé pour certains que pour d’autres … Pour moi qui suis peu expérimentée en kayak, je me suis retournée deux fois : une fois dans des rapides et la deuxième fois, je n’avais pas assez anticipé pour tourner donc le courant m’a poussée sur une paroi. Après avoir rejoint une berge, nous avons tous continué et nous nous sommes arrêtés à mi-parcours à la cascade de l’amen pour nous reposer et nous réchauffer un moment. C’est l’occasion de faire une photo de groupe au pied de la cascade pour immortaliser le moment.

En fin de parcours un passage plus difficile nous attend : le rapide de l’éboulis que certains ont contourné. A l’arrivée nous sommes tous plus ou moins fatigués et mouillés, mais le sourire aux lèvres car c’était une expérience fantastique. Après s’être changés, nous retournons au camping pour retrouver le reste du groupe.

Pendant ce temps, le reste du groupe a fait un tour sur le lac du camping et exploré la petite île. Nous mangeons des sandwichs et repartons pour le parcours de l’après-midi sur le Var de Puget-Théniers à Touët sur Var. Ce parcours-là m’a semblé plus simple après Daluis, mais il était tout de même bien mouvementé et je me suis retournée au démarrage … La suite du parcours a également été fatale pour quelques apprentis kayakistes !  Mais le paysage est toujours magnifique et les sensations lors de la descente énormes ! Le temps s’est couvert vers la fin de parcours et il y avait alors un peu plus de vent. Puis lorsque nous rangions les bateaux il s’est mis à pleuvoir.

Pour le repas du soir nous dînons dans une ferme sur la route d’Entrevaux, chez les restaurateurs qui préparaient nos repas : c’était très bon et l’ambiance était très conviviale. Nous sommes ensuite rentrés au camping et après un petit temps libre nous sommes allés nous coucher.

Jeudi 20 avril – écrit par Blaise

C’est le jour du départ. Au programme, rangement, nettoyage du camp et pliage de tente ! Certains sont déjà des experts du camping et manient la tente avec brio. Pour d’autres, il y a encore beaucoup à apprendre et ces stages ne sont pas formateurs que pour la partie navigation ! Nous quittons finalement le camp vers 11h30 et nous prenons la triste et sage décision de ne pas naviguer sur le Haut-Verdon pour éviter de rentrer trop tard sur Lyon. Mais ce n’est que partie remise et nous reviendrons bien un de ces jours pour découvrir le chouette parcours des Gorges de Font Gaillarde où coule le Verdon, section également connue pour son autre nom : la descente des 1000 drossages.

Nous faisons tout de même une halte au niveau du lac de Castillon pour prendre un dernier pique-nique tous ensemble, dans un cadre encore une fois magnifique. La couleur de l’eau étonne les enfants. Abel nous quitte ici, après le repas et l’ensemble du groupe le remercie.

Nous arrivons sur Lyon aux alentours de 18h00, nous nous disons au revoir, le sourire aux lèvres et les souvenirs plein la tête.

TO BE CONTINUED ….

L’école de pagaie aux sports d’hivers

En hivers, le kayak c’est sympa mais bon …. le ski c’est bien aussi! Direction La Grave, village que nous connaissons en été puisque nous naviguons sur la Romanche. Nous partons à la découverte de ce lieu emblématique des Hautes Alpes dans un décor très hivernal pour y pratiquer diverses activités de sports d’hivers! Voici le contre rendu du séjour écrit par les enfants de l’école de pagaie!

Lundi 27 février 2017

Nous avions rendez-vous au CKDM. On s’est directement changé en tenue … de ski (et pas en tenue de kayak pour une fois !) et nous voilà partis en direction de la Grave avec à bord Arthur, Camille, Jules, Matisse, Romane et Blaise.

Sur la route, nous nous sommes arrêtés à une station de ski : l’Alpe du Grand Serre. Nous sommes allés skié et on a fait des pistes et des bosses ! On a eu de la chance car on a eu un magnifique soleil. Bref c’était super cool !

Ensuite, il fallait bien manger, donc nous sommes allés faire quelques courses au supermarché pour nos pique-niques. Puis, on est enfin arrivé au gîte ! On s’est réparti dans les deux chambres, une pour les garçons, une pour les filles ! Les repas étaient préparés par Simon, le chef cuisinier du gîte. Ce soir-là, nous avons mangé une très bonne soupe, un bon plat et un délicieux gâteau aux myrtilles. Avant d’aller se coucher, nous avons fait une partie de Dixit et on s’est bien marré.

Mardi 28 février 2017

Nous sommes partis de la Grave pour aller à Villars d’Arène. Puis là-bas, nous avons loué des skis de fond de skating pour Jules, Arthur et Blaise, et des skis de fond classiques pour Matisse, Romane et Camille. Quelques minutes plus tard, nous voilà arrivé au parcours, on chausse difficilement ces drôles de ski et on part à l’aventure !

Pour nous qui faisions du classique, il n’y avait pas de rails ce jour-là à cause de la poudreuse ! Oui il a fortement neigé ce mardi ! Nous avons mangé au chaud dans un petit restaurant au fond de la vallée de la Romanche à Arsine, puis nous avons testé l’Arva, qui permet de retrouver des personnes ensevelies sous les avalanches ! C’est plus compliqué que je l’imaginais. Puis déjà repartis que la fatigue commence à se faire ressentir pour certains. Quelques heures plus tard, nous étions rentrés au gîte avec un repas bien mérité !

Mercredi 01 mars 2017

Il a neigé toute la nuit ! Aujourd’hui, nous partons skier au Chazelet, petite station sur le versant sud au-dessus de la Grave. La journée s’annonce bonne, mais malheuseusement nous ratons la navette qui devait nous emmener à la station ! La route enneigée ne nous permet pas de prendre notre minibus, du coup nous partons faire une petite promenade dans la poudreuse en attendant que la route soit praticable. Evidemment, la promenade le long de la Romanche et de son passage 5, se transforme vite en bataille de boules de neige !

Vers 11 heure, nous prenons le véhicule et montons à la petite station. Super journée dans la neige fraîche puisque aucune piste n’est damée… Vers 15h00, Camille, Romane et Matisse sont épuisés et ils rentrent avec Blaise au chalet. Pendant ce temps, Jules et Arthur continuent à skier jusqu’à la dernière minute pour en profiter au maximum : ce n’est pas tous les jours que nous avons de telles conditions : poudreuse et soleil.

Le soir, une nouvelle fois, Simon nous régale par un bon repas, tandis que la neige se remet à tomber … Cela promet pour demain … aux 2 Alpes !

Jeudi 2 mars cialisfrance24.com 2017

Nous avons pris notre temps le matin, nous avons pris le petit déjeuner et nous nous sommes préparé pour partir à 10 heure. Nous sommes allés à la station des 2 Alpes. Une fois arrivé à destination Blaise et Romane sont allés chercher les forfaits et les skis de Romane. En attendant, les autres ont fait une petite bataille de boules de neige et à leur retour nous avons pique niqué.

Ensuite nous sommes partis sur les pistes avec une super neige. Nous sommes allés prendre une télécabine et un métro très original qui nous rappelle Lyon. Nous avons pu profiter du haut de la station avec des bonnes pistes. Nous avons trouvé des belles bosses dignes de ce nom avec quelques chutes à la réception.

 

 

Après cette magnifique journée il a fallu rentré, tout le monde était bien fatigué et on a profité de la soirée pour faire un loup garou entre nous et deux filles du gîte. Pendant cette partie Cupidon à formé un couple Arthur ❤ Alex qui se sont aimés.

Vendredi 3 mars 2017

Même s’il a beaucoup neigé cette semaine, il fait très chaud et cela fond vite ! Romane, Camille et Matisse sont un peu fatigués du séjour et nous profitons donc de cette dernière journée pour faire une « petite grasse matinée ». Les petits déjeuners sont toujours bien garnis avec fruits, pain, confiture, Nutella, fromage, jambon, œuf, gâteau, jus de fruit, chocolat chaud, café ….  Bref on est vraiment bien accueilli chez Simon !

Nous quittons le gîte vers 12h00 après avoir salué toute l’équipe qui nous a reçu, puis direction Décines et son Grand Large, où nous nous équiperons, une fois n’est pas coutume, en tenue de kayakiste pour faire une petite partie de kayak polo sous le soleil hivernal !

17h00, c’est la fin du stage, les parents arrivent pendant que nous jouons au foot.

Finalement, en hivers aussi on s’amuse bien à l’école de pagaie ! Vivement 2018 !

 

Yapluka Pédaler & Pagayer Volume 2 autour du Mont Blanc

Et c’est reparti ! L’équipe Yapluka Pédaler & Pagayer repart sur les routes pour l’été 2017! Cette fois, nous irons du côté du Mont Blanc, naviguer en France, Suisse et Italie!

Nous partirons de Lyon en train pour un transfert à Thonon les bains, point de départ de notre expédition. D’ici au bord du lac Léman, nous ferons une grand boucle qui nous amenera dans le pays des Dranses, du Grand Paradis, du Mont Blanc et de la Vanoise!  Retour en train, pour promouvoir la mobilité douce et répondre à notre slogan : 0CO2!

Il n’est pas trop tard pour faire partie de notre équipe car 4 postes sont à pourvoir ! Si vous voulez  rejoindre le projet, que le vélo ne vous effraie pas et que vous n’êtes pas allergiques aux ascensions, et évidemment que vous êtes un kayakiste passionné, alors contactez nous rapidement !!

 

Reprise en douceur pour l’école de pagaie en 2017 !

L’école de pagaie du CKDM vous souhaite une bonne année 2017!

Pour entamer cette nouvelle année, une très bonne résolution: pas de kayak quand les températures sont négatives! Cela ne nous empêche pas de faire du sport de pleine nature et de nous amuser. Direction le parc de Miribel, non pas en kayak, mais en VTT!  Ce mercredi 4 janvier 2017, nous sommes donc un bon groupe à nous armer d’un casque, de gants et d’un vélo pour nous amuser à travers le très beau parc de Miribel, à proximité de notre club. 

Au programme de cette journée hivernale, du VTT à travers les chemins, mais également de l’escalade sur le bloc de Miribel! 11 enfants ont participé à cette sortie. Un grand bravo à Ethan, 7 ans, qui malgré son tout petit vélo s’est bien accroché pour suivre le groupe !

Semaine d’eau vive dans les Alpes du sud

Il était une fois une idée partagée par un groupe d’intrépides kayakistes. Représentant les clubs lyonnais (SVVV, CKTSV, CKDM, CKLOM), ils partirent faire un trip kayak dans les alpes du Sud.  Ils ont bravé la météo et le froid glacial des nuits du haut Verdon, les eaux tumultueuses de la Vésubie et des cols de montagne comme le Turini, véritable rallye avec le minibus…

Ces kayakistes sont : Jérôme / Christelle / Flore / Sara / Samuel / PY / Cyril / Max / Guillaume / Mikael / Nicolas / Stéphane / Sébastien/ Blaise

La semaine ne fut pas de tout repos: au programme, 2 à 3 parcours par jours de la classe 2 à la classe 4 (5) , de l’itinérance et des bivouacs tous les soirs dans les différentes vallées sud Alpines, des tournois interminables de KUBB et de MOLKY … Dans le bon ordre, nous avons navigué sur les rivières du Bachelard, de l’Ubaye, du Verdon, du Var, de la Vésubie, et de la Roya. Malgré des différences de niveau dans le groupe, tout le monde a pu navigué à sa guise avec des parcours tantôt faciles, tantôt techniques, mais avec en commun des paysages grandioses! Bon tout le monde n’a pas forcément le temps de bien profiter de ces paysages …

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Ci joint un COMPTE RENDU, bien plus précis de notre séjour! Merci à l’ensemble des participants pour cette excellente semaine, aussi bien au niveau de la navigation que de l’ambiance.

Bonne lecture 🙂 Laventure2016-alpesdusud-CR

l’album photo :
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L’itinérance vélo kayak 2016 se prépare ….

Des passionnés d’eau vive au départ d’une aventure sans carbone début juillet. Avec quelques adhérents des clubs de kayak rhodaniens de Décines Meyzieu et de Villeurbanne, nous avons l’objectif de pratiquer notre sport, le canoë kayak, dans un territoire d’exception pour l’eau vive, les Hautes-Alpes. Jusque-là, rien d’exceptionnel, nombreux sont les clubs français et étrangers qui migrent dans cette région entre les mois de mai et d’août pour profiter des bonnes conditions de navigation que nous offre ce territoire. La particularité de notre voyage : nous n’utiliserons pas de véhicules pour nous déplacer de rivières en rivières.

Nous serons donc en vélo durant neuf jours et nous naviguerons chaque journée sur une rivière différente. Les Hautes-Alpes sont un lieu unique en France pour pratiquer l’eau vive : on y retrouve des torrents des classes II à V glaces à profil alpin et parfois même à profil cévenol, alimentés principalement par la fonte des neiges et des glaces. En vélo, nous franchirons quelques cols mythiques des Hautes-Alpes comme le Lautaret, le col de Vars, le col de Manse, le col de Parquetout et le col d’Ornon pour rejoindre notre point de départ. Une fois les rivières descendues, nous remonterons autant que possible à pied pour récupérer nos vélos.

D’où a émergé cette idée farfelue ? Il y a un an et demi, avec un ami, nous nous sommes lancés dans une aventure similaire en traversant les Alpes du Sud en étant préoccupé par un constat : si l’image d’Épinal du kayakiste est celle d’un sportif qui se fond dans l’environnement, il reste très dépendant de la voiture pour accéder aux cours d’eau et faire la navette entre le point de départ et le point d’arrivée. C’est une des raisons qui nous ont poussés à remplacer la voiture par le vélo.

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Aujourd’hui, je souhaite élargir cette pratique qui nous permet d’imaginer les activités de montagne autrement. Et c’est avec l’association sportive du CKDM, pour laquelle je travaille, que je souhaite porter ce projet. Sans que cette pratique attire les foules, il s’agit d’une pratique qui interroge les gens que nous rencontrons sur notre route. Nous serons donc cette année un grand convoi de six pratiquants qui traverseront les routes hauts-alpines. Deux d’entre nous partirons trois jours avant depuis notre club en banlieue Lyonnaise pour rejoindre le point de départ de notre boucle autour des Ecrins. Bien qu’il n’y ait pas de rivières d’eau vive à naviguer entre Lyon et les premiers contreforts des Ecrins, il nous semble intéressant et symbolique de faire un départ à vélo depuis notre club. Les cinq autres kayakistes nous rejoindrons à Bourg-d’Oisans, départ de notre boucle, longue de 400km.

Concernant le matériel, nous utilisons nos vélos et kayaks personnels. La difficulté est de trouver des remorques à un prix abordable pour transporter les kayaks et tout le matériel nécessaire au voyage (bivouac, affaires de kayak, quelques vêtements …) Nous recherchons toujours des partenaires pour nous aider à subventionner ce coût. Récemment, nous avons contacté une association lyonnaise de réparation de vélos : le chat perché. Intéressée par notre projet, elle propose de nous fabriquer les remorques qu’il nous manque à coût réduit. En échange, nous souhaiterions leur proposer des séances d’initiation pour découvrir notre sport, le canoë kayak.

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Affaire à suivre …