Ce 2 novembre 2024 nous avons entrepris de réaliser un parcours facile sur l’Isère entre deux barrages (Beauvoir-sur-Royans et Saint-Hilaire-du-Rosier) au départ de Saint-Nazaire-en-Royans. Notre itinéraire nous fait embarquer sous l’Aqueduc romain de Saint-Nazaire-en-Royans où la Bourne se jette dans l’Isère.
Nous remontons l’Isère jusqu’au barrage de Beauvoir après une petite pause pique-nique à la base d’aviron de La Sône (le village, pas la rivière!). Nous admirons le château et son Jardin des Fontaines Pétrifiantes ainsi que l’église Saint-Pierre bien visibles depuis la rive.
On redescend jusqu’à Saint-Nazaire-en-Royans avec son grand Aqueduc, ses ponts aux belles arches et remontons un peu la Bourne très calme sous le soleil couchant. Une vue magnifique sur le Vercors ponctue cette sortie eau calme en kayak de mer de 20 km.
Avant de rentrer à Lyon on fait un petit passage par l’épicerie locale pour acheter des bonbons à la noix de Grenoble en ce weekend d’Halloween. L’Isère se caractérise par un faible débit et est facile à remonter entre les 2 barrages. Mais elle est très boueuse ! L’eau était à seulement 15°C. C’est un beau parcours avec des berges très sauvages peu urbanisées. On y voit beaucoup d’oiseaux : foulques macroules, cygnes tuberculés, hérons cendrés, aigrettes garzettes.
La station hydro https://www.hydro.eaufrance.fr/ de mesure du débit la plus proche est : W320001002 « Saint-Gervais », le 2 novembre le débit était de moins de 300 m3/s. Et la Bourne Saint-Just-de-Claix était à moins de 10 m3/s.
Merci à Nadine pour l’organisation et à Sylvain pour la conduite de nuit !
Randonneurs : Anne, Claude, Nadine, Hugo et Sylvain
Le vendredi, RDV à 7 h 45 pour charger les bateaux. On part vers 8 h 45 avec un magnifique soleil. Je précise la météo du départ car il sera souvent mentionné la météo tout au long de ce compte-rendu. Nadine a pris le volant jusqu’à une aire d’autoroute indéterminée, Nadine se rappelle qu’il y avait beaucoup de pins. Anne nous régale de viennoiseries et reprend la route jusqu’au lac de Salagou. Attention, sur les panneaux indicateurs, il y a deux Clermont, un Clermont l’Hérault et un Clermont Ferrand et je ne me rappelle plus lequel il faut suivre (on me souffle qu’il faut suivre Clermont Ferrand). On a perdu quelques minutes de trajet avec cette subtilité.
On est arrivés au camping « le Mas de Riri » aux environs de 13 h 15. On décharge les bateaux sur la plage du camping puis pique-nique dans des balancelles sous les oliviers au bord du lac.
On part ensuite pour une belle navigation sur le lac, d’une durée de 4 heures, 17 km, eau à 18°C, avec un ciel chargé et quelques gouttes de pluie à un moment. On voit beaucoup de pêcheurs et de nombreux oiseaux (cormorans, petites aigrettes, grandes aigrettes, Martin pêcheur, héron cendré, goélands, mouettes, bergeronnette, aigles…). Au retour, on s’installe dans le bungalow, apéro, repas (un délicieux chili con carne et un cake pomme noix miel de Hugo).
Le lendemain (le samedi), réveil à 7 h 30 pour une belle alerte orange pluie crue inondation, épisode cévenol dans le jargon météorologique. Sagement, on décide de faire du tourisme. Anne prend le volant pour emmener le groupe se promener. Le passage à Saint Jean de Fos lui laissera un souvenir mémorable, car à défaut de faire des manœuvres avec son kayak, elle en fera de nombreuses avec le camion dans les (petites) ruelles du centre-ville. Le parcours touristique commence par la visite de Saint Guilhem le Désert (qui n’a de désert que le nom, vue toute l’eau qu’il tombe). C’est une cité médiévale, avec une belle église, une crypte et un cloître (sœur Anne ne voyait personne revenir). Ensuite, passage au Pont du diable pour observer l’Hérault en crue. On mange un picnic dans la salle du syndicat d’initiative, au chaud, au sec, avec des toilettes, avant de descendre au pont. Le débit, qui était à environ 130 m3/s au matin, est désormais à un peu plus de 500 m3/s. Après, on passe à Aniane, l’abbaye ne se visite pas, dommage, on se serait mis à l’abri de cette pluie qui ne cesse de tomber et de mouiller nos vêtements (et même plus). Le débit de l’Hérault montra jusqu’à 630 m3/s dans l’après-midi, où nous allons l’observer à Gignac au lieu-dit le barrage de la Meuse. Le fleuve déborde de partout, des troncs d’arbres sont charriés par les flots.
Pas de regret, pas de navigation mais une envie de revenir une prochaine fois pour passer sous le pont du diable avec des conditions navigables. On rentre au mobil-home pour sortir les jeux de société. L’Histoire retiendra que ce soir-là, le 26 octobre 2024 à 18 h 52, un jeune homme, intrépide et fougueux, réalisa l’exploit d’un double Quirckle, nul doute faudra t’il attendre plusieurs siècles avant que pareil miracle ne se reproduise. Le repas du soir est préparé par Claude qui nous régale avec ses spaghettis bolognaise. Le lendemain, c’est le départ du chalet après une nuit de pluie et d’orage. On range sous un magnifique soleil. On part pour une navigation sur le lac. Le soleil fait ressortir les couleurs grandioses (le rouge de la roche, le ruffe, et le vert… de la verdure, les arbres quoi).
Après quelques coups de pagaie, nous débarquons pour visiter le village abandonné de Celles (celui-ci aurait dû être englouti sous l’eau mais il n’en est rien). Il est en train d’être restauré. Picnic avec les écrevisses sur une magnifique crique. Retour au camping vers 16 heures pour manger de délicieuses glaces (chocolat noisette pour Claude, ah non, on me signale que c’est une erreur, c’est chocolat caramel). Départ avec un magnifique arc-en-ciel et encore de la pluie…
Nous étions 9 ce jour-là : Nicolas (le gentil organisateur, et chauffeur), Elodie, Isabelle, Marlène, Nadine, David, Denis, Jacques (le second chauffeur) et Sylvain. On se retrouve à 8h00 au club pour charger les bateaux et les équipements sur la remorque, laquelle sera tractée par Nicolas. L’échauffement débute au club en poussant le camion qui refuse obstinément de démarrer et qui coince la remorque dans le hangar. Malgré tout le chargement se fait rapidement et dans la bonne humeur. Trahi par une rupture d’élastique au 3° étage de la remorque, David nous gratifie d’une belle cascade débutant par un élégant salto arrière pour se terminer comme une crèpe qui a raté la poële…Passés quelques instants de stupeur et sans doute sauvé par un dos en acier forgé par une pratique assidue du kayak, il se relève précautionneusement et quasiment indemne si ce n’est quelques contusions dont on saura plus tard qu’elles seront sans conséquences mais qui lui valent une dispense immédiate de déchargement et de portages. La trajet à deux voitures s’effectue sans problème et nous permet d’affiner le point de mise à l’eau qui sera finalement la plage de Conjux bien connue des pratiquants de la RhônOLac puisque c’est là que s’achève la première étape. La météo annoncée est médiocre et il fait donc… beau au moment de la mise à l’eau. Qui plus est, ce temps très agréable se maintiendra pendant toute la navigation mais à peine plus car nous auront tout juste le temps de recharger avant qu’une pluie battante nous accompagne sur le chemin du retour.
D’un commun accord nous suivons à distance la rive Ouest en direction de l’abbaye de Hautecombe. Le paysage est magnifique, les conditions sont idéales et nous profitons sans vergogne de la vue et du calme. Passée l’abbaye, nous faisons une petite pose dans une anse peu profonde et échangeons sur l’agrément de ce moment hors du temps. Nous poursuivons en effectuant quasiment une traversée du lac en diagonale pour se rapprocher de la berge Est en direction de Chindrieux, non sans chercher à localiser la plagette qui avait accueilli le concert nocturne dont nous fûmes gratifiés lors de la dernière RhônOlac. A l’approche de la rive Nord nous cherchons un coin propice à l’abordage car la faim se fait déjà sentir. Passé les nombreux pontons plus ou moins délabrés mais dûment affichés comme privés, nous trouvons une plagette de galets qui se prête à l’accueil des kayaks et au déballage du pique-nique que l’on pourrait penser sommaire.
Contre toute attente, c’est un « top chef » improbable qui s’organise en quelques instants : crakers aux graines, quiche à l’ail des ours, cakes divers, pasteis de nata (petit flan portugais), moelleux au chocolat…Malgré l’inconfort des galets qui rudoient des postérieurs pourtant burinés par les sièges rudimentaires des kayaks, nous apprécions cette dégustation très (trop?) copieuse, non sans échanger nos recettes secrètes. Nous rembarquons vers l’embouchure du canal de Savières qui relie le lac du Bourget au Rhône en longeant de belles roselières. La circulation sur le canal est plutôt fluide en ce début de printemps encore peu fréquenté par les touristes. Malgré tout, nous gardons l’oeil sur les quelques petits bateaux électriques pilotés plus ou moins sûrement par des navigateurs du dimanche peu aguerris dont l’attitude va de l’indifférence hautaine au salut amical et enjoué notamment des enfants. C’est avec la conviction d’avoir suscité quelques futures carrières de kayakistes que nous poursuivons une navigation aisée, le courant est imperceptible, la température idéale et nous profitons du spectacle d’une végétation abondante et variées que nous côtoyons de près vu l’étroitesse du passage. Nous serrons à droite en particulier dans les virages sans visibilité car les vedettes à roue à aube, déjà présentes en ce début de printemps, imposent leur gabarit impressionnant vu de nos quelques centimètres de tirant d’air. Soudain un cri : « ça sent l’ail des ours !», l’ingrédient indispensable à la quiche dégustée le midi même et dont les néophites découvrent l’abondance sur les berges du canal. Cette plante très commune même près du Grand Large, ne doit pas être confondue avec le muguet auquel elle ressemble et qui est toxique ! Prudemment nous déciderons de ne pas débarquer afin d’éviter la confrontation potentielle avec un plantigrade sourcilleux jalousant son pré-carré.
Plus loin nous faisons le spectacle en longeant les terrasses de café du charmant village de Chanz puis passant sous une petite arche fréquentée par des touristes en admiration et qui préfigure le Rialto que nous franchirons dans un mois pour la Vogalonga ! Au bout du canal c’est le Rhône qu’il est possible de rejoindre après un portage pour contourner le barrage mais nous choisissons plutôt d’explorer un petit canal de dérivation qui se termine par une écluse ouvrant sur le Rhône.
Le retour est à peine troublé par la route longeant le canal et fréquentée par des hordes de motards en mal de sensations aussi sonores que mécaniques tandis que nous rejoignons silencieusement Conjux propulsés par notre seule énergie. Le chargement est accéléré par une pluie imminente qui nous laisse tout juste de temps de sauter dans les voitures et c’est avec les premières gouttes sur les lunettes que Nicolas met le contact. Malgré le retour un dimanche de fin de vacances, la circulation est plutôt fluide, sauf à l’approche du club, les marseillais ayant justement choisi ce jour pour défier l’Olympique lyonnais et nous devons utiliser les chemins de traverse pour nous faufiler vers le Grand Large. Sauvés par la carte de circulation de Jacques et notre imposante remorque à bateaux qui témoigne en notre faveur que nous ne cherchons pas à carotter un stationement gratuit proche du grand stade, les barrières tombent et nous parvenons au club. Le déchargement des kayaks et des équipements s’opère rapidement et dans la bonne humeur. Inspiré par la prestation matinale de David, un kayak des rangées supérieures saute sans attendre son tour. Heureusement personne n’était sur la trajectoire mais nous retiendrons la leçon… Ainsi s’achève une belle journée de navigation de près de 20KM. Cette distance double le record de distance de la nouvelle pagaie « groënlandaise » fraîchement sortie des ateliers « François and Co »du présent rédacteur, sans pour autant malmener ses épaules justifiant si besoin était les deux samedis consacrés à sa fabrication au club. Denis
Le rendez-vous est fixé au club le vendredi 7/04 en fin de journée pour charger les kayaks, départ vers 18h30 cap plein sud. Week-end de pâques et début des vacances scolaires, nous ne sommes pas seuls à quitter Lyon… Nous arrivons tard dans la soirée vers nos hôtes, à Cogolin (Merci Anne et Lionel !). On s’installe et on prend le temps d’une discussion autour des cartes du coin et d’un point météo pour la sortie du lendemain. Un objectif : 10 h sur l’eau.
Jour 1 : L’escalet – cap Camarat : 8 milles (d’autres propositions d’unités de mesure de distance ont été débattues mais il faut rester consensuels !) / 4h30 de pagayage
Après un petit débriefe sécurité, nous quittons la plage de l’escalet en direction du cap Camarat. Les conditions météo sont très favorables, mer calme, pas de vent et un soleil radieux. On longe la magnifique côte jusqu’au cap Camarat. Petit tour du rocher des portes avant un changement de cap pour rejoindre la fameuse plage de Pampelonne.
La pause pique-nique sur la plage de Camarat nous permet un exercice de débarquement, facilité par les bonnes conditions météo. A notre approche de la plage de Pampelonne, les plus joueurs tentent le surf sur les quelques vagues qui s’y prêtent. Sur le trajet retour, on s’initie ou on pratique (selon son niveau de kayak) les différentes techniques de manœuvre pour longer les rochers. De retour à l’escalet, on recharge les remorques, puis à Cogolin on recharge le frigo. Soirée spaghettis – bolognaises (merci aux cuistots) et jeux de société.
Jour 2 : Gigaro, cap Lardier, cap Taillat : 9 milles / 4h40 de pagayage
Même défi le 2e jour : 10 h sur l’eau. Ça se passe toujours sous un magnifique soleil mais cette fois ci le départ se fait de la plage de Gigaro.
Les passages de cap sont l’occasion de changements de conditions, d’une mer très calme à peu agitée (un petit clapot me dit-on, tout est question d’appréciation !). On contourne le cap Taillat et retraverse le tombolo à pieds pour se mettre en direction du retour. Le pique se fera un peu plus loin, sur la plage de Briande. Outre le plaisir de profiter du paysage, quelques exercices de manœuvre sont pratiqués sur le trajet. A l’approche de la plage de Gigaro, les plus aguerris s’adonnent à l’esquimautage synchronisé (ou pas), et … à la récup !
De retour à Cogolin, il nous reste le temps et l’énergie d’une petite ballade à pied dans le village, avant une belle soirée barbecue.
Jour 3 : L’estagnet, Pointe de la Rabiou, Pointe de l’Ay, Cap des Salins, Pointe de Capon : 9 milles / 3h54 de pagayage
C’est le jour du départ, l’idée étant de ne pas prendre la route trop tard pour Lyon, le petit déjeuné est négocié à 7h. Nous voilà donc à 9h sur l’eau au niveau de la plage des Canoubiers dans le golfe de Saint-Tropez. Après une approche de la citadelle par la mer en côtier, on change de cap vers la pointe de la Rabiou. Comme tout au long du week end, c’est l’occasion de transfert de connaissances. Il est notamment question de balisage cette fois ci. On passe la pointe de l’Ay, le cap des salins et la pointe du Capon, qui est de nouveau l’endroit pour tenter de surfer sur les vagues que l’on y trouve. On s’engage alors sur le trajet retour. C’est une matinée assez intense, récompensée par un pique-nique partagé sur un ponton presque privatisé. C’est déjà l’heure des au revoir et du retour sur Lyon. Un dernier effort de retour au club : rincer et ranger les kayaks, pour de nouvelles aventures !
Trois jours de navigation dans des conditions probablement un peu calmes pour certains, mais parfaites pour débuter la navigation en mer (merci pour votre accompagnement et vos conseils !). Du soleil, du kayak de la bonne humeur et de la tarte tropézienne : les batteries sont rechargées, merci à toutes et tous et vivement la prochaine !
De Novembre 2022 à Mars 2023, nous avons pu bénéficier d’un créneaux de 2 heure en soirée, un lundi sur 2 pour accéder à la piscine municipale Camille Muffat de Décines.
Nous avons toujours été entre 18 et 24 personnes à chaque séance à nous retrouver et nous entrainer dans la bonne humeur. Ces séances ont été l’occasion de mieux appréhender le fait de se retourner en bateau équipé d’une jupe, de travailler ses appuies après être allé chercher le point de rupture de la gite ou de s’exercer à esquimauter. Les adeptes de la pagaie groenlandaise ont pu ainsi démontrer que leurs esquimaux sont plus faciles et tout en douceur ! Dans tous les cas, nous avons pu voir au fil du temps une belle marge de progression de l’ensemble des adhérents. Continuez ainsi !
En ce milieu de mois de Mars 2023, nous venons de passer 2 journées à sculpter nos pagaies groenlandaise dans du Red Cedar sous l’œil expert de François qui semble prendre toujours autant de plaisir à partager ses connaissances et ses expériences. Nous avons commencé par prendre nos mesures (une brassée + une coudée, largeur d’épaule et hauteur de poigne) pour déterminer les dimensions de cette pagaie fabriquée spécifiquement à la morphologie de chacun. En partant de nos morceaux de bois en forme de poutre, nous avons réalisé un premier tracé qui nous a permis de dégrossir l’ensemble à l’aide d’une scie à ruban. Puis nous avons dessiné un second tracé pour définir les différentes parties de la pagaie (manche et pales). Nous nous sommes alors enivrés de cette essence de bois en la travaillant avec des outils tel que les ciseaux à bois, le rabot, la plane, le wastringue, pour obtenir la forme souhaitée avec des surfaces réglées. Certains d’entre nous se sont lancées dans la confection d’une pagaie escamotable ce qui nous a également permis d’étudier la mise en place d’un manchon. Ces journées ont été évidemment ponctuées d’agréables moment d’échanges gastronomiques.
Merci à Denis de s’être libéré une journée afin de nous prêter ses outils et de nous apporter son œil avisé sur leur utilisation.
Merci à François d’avoir organisé et chapoté cet atelier de main de maître.
Au carrefour du basket, du handball, du water-polo et du football américain, le kayak-polo offre un cocktail sportif assurément spectaculaire ! Venez découvrir cette discipline au Grand Large lors de compétitions organisées par le CKDM : – Compétition Régionale Kayak-Polo les 13 et 14 mai 2023 – Journée Nationale 2 – Kayak-Polo les 10 – 11 juin 2023 Venez nombreux, buvette et restauration sur place. Spectacle sportif assuré !
Le Kayak’n’Run, c’est une course à pied de 5 km suivi d’un parcours de 3 km en kayak. Venez défier vos amis sur cette course atypique à la périphérie de Lyon.
Ce biathlon alliant course à pied et kayak vous offre un parcours 100 % vert,5 Km de course à pied au départ du club de kayak, course sur l’anneau bleu. Embarcation en kayak au niveau du pont d’Herbens, puis 3 Km de kayak sur le canal de Jonage jusqu’au club de kayak, lieu d’arrivée. Tout cela sans rencontrer une seule voiture, que demandez de plus ? Lors de ce biathlon, 3 courses vous seront proposées, une course adulte, une course de groupe (6 personnes) et une course -18 ans (format différent, 3km de course et 1 km de kayak).
Tout le monde est le bienvenu, venez avec vos amis, votre famille et tous ceux prêts à partager un agréable moment. Alors, retenez cette date pour venir profiter du soleil au bord et sur le grand large, tout ça dans une ambiance festive, car c’est cela l’essentiel.
Tout le matériel de kayak est mis à votre disposition gracieusement par le CKDM !
Pensez à vos certificats médicaux de non contre indication à la pratique du kayak et de la course à pied ! Ou une décharge, un document mentionnant que le CKDM ne sera pas porter responsable en cas de soucis de santé signé.
Pour toutes inscriptions vous aurez : un tee-shirt !
C’est sous un soleil radieux accompagné d’un léger froid que nous quittons le CKDM après avoir chargé la remorque de 11 bateaux (Anne, Isabelle, Elodie, Marlène, Élise, Sylvie, Maxime, Pierre, Sylvain, Lionel, Nicolas).
Une heure de route plus tard nous atteignons la sortie 12 de l’autoroute pour Chambéry. Quelques mètres encore et c’est le lac d’Aiguebelette qui se présente à nous pour notre première navigation organisé de 2023 (en dehors du grand large). Le temps n’est plus le même qu’au départ : ciel couvert, épaisse brume (en altitude tout de même), mais surtout un thermomètre qui affiche un zéro degré. Toujours pleinement motivé, nous partons pour une balade de 19 km autour du lac et de ses deux iles. La pose repas se fera en grelottant et en cherchant à ne pas perdre nos doigts de pieds (merci Sylvie pour l’exercice des indiens !). Lors la navigation, nous faisons fasse à un panneau d’interdiction de navigation à l’entrée du ruisseau du Thiez. Étrange, car il ne correspond pas aux formats officiels rencontrés tout le long des berges et il ne comporte aucune indication d’arrêté préfectoral, municipal… Nous attendons le retour du CCLA sur cet affichage (sauvage ?).
C’est tout à la fin de la navigation que la brume se lève pour laisser transpercer les rayons du soleil. Certains réussiront même à rougir un peu (et pas d’effort) à force de se dorer sur l’eau plutôt que de débarquer. Finalement, la remorque est rechargée vers 16h00. La journée se terminera au CKDM à 17h00, dans la bonne humeur et en grelottant moins qu’à midi. Une chose est sure, les calories apportées lors de l’ingurgitation de gâteaux, tartes, cookies aux pauses auront été supérieures à celles dépensées… Merci aux cuisinier.e.s