Cette semaine, nous partîmes à Sault-Brenaz et délaissâmes donc St-Pierre
d’un coup.
Heureusement, nous reçûmes de deux pères un coup (de main).
En effet (ou effectivement), nous avons trouvé ces deux pères qui font la paire, le premier (Vincent) resta en bas avec Camille, Léo, Julie et Matisse (qui après un scénario très complexe avait réussi à récupérer un bateau), tandis que le second (Nicolas, alias « le futur président ») découvrait pour la toute première fois les joies du slalom.
En haut, Arthur et Lucas impressionnaient leurs aînés (à savoir : Alessandra, Alexandre, Rémi et enfin Nicolas, doyen mais néanmoins novice slalomeur) par leur aisance et leur lecture de la rivière .
Après avoir épuisé le potentiel kayakistique du bas du bassin, le premier groupe rejoignit le premier et c’était parti pour une session endiablée de décalés, qui malgré leur apparence simpliste, causèrent beaucoup de soucis cuanto cuesta el viagra à Julie et son petit papa.
Rejoint par un autre groupe de Décinois (de la rivière) au passage désigné des fois (oups, parfois) comme « le S technique » mais qui mériterait d’être définitivement baptisé (comme tous les autres rapides de Sault-Brenaz d’ailleurs), le groupe décida de sauter le pas en franchissant la chute. Encore une fois, Lucas impressionna par son aisance en eaux-vives et Julie réussit son esquimautage.
Nos valeureux athlètes débarquèrent enfin, profitèrent du goûter gentiment confectionné par Lucas avant de se lancer dans une folle bataille de boules végétales.
L’histoire s’acheva sur un retour par la mythique route nationale reliant Sault-Brenaz à Décines, souvent méprisée à tort par les kayakistes néophytes, bien appréciée par contre (oups, « en revanche ») des vieux roublards qui en profitèrent pour enseigner cette trajectoire aux deux pères, qui ont rendu cette journée inoubliable tout en se faisant plaisir, comme le soulignera Nicolas « Ce matin, c’était vraiment chouette ! Avec le slalom, j’ai découvert ma voie et je pense que j’accompagnerai à nouveau ma petite Julie le samedi matin ; ça c’est sûr, je reviendrai ! », sous le regard approbateur de Vincent, supplié de revenir par ses enfants (Camille et Arthur).
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