Ce fut un 8 décembre mémorable pour les quelques 50 kayakistes du CKLOM et du CKDM qui ont eu la chance de participer à la rivière de lumière sur la Saône selon une mise en scène de l’architecte lyonnaise Charlotte Vergély. Descente féérique entre les passerelles Saint-Vincent et Saint-Georges, dans l’esprit des processions qui avaient lieu au Moyen-Âge sur la Saône.
Ce sont quelques 70 embarcations (kayaks, canoés et avirons) toutes équipées de lumignons, astucieusement fixés sur les bateaux et 20 000 petites embarcations chacune porteuse d’un lumignon et pour certaines d’un message qui se sont laissées flotter au fil de l’eau ! Poésie et féérie !
Puis la fête terminée, il a fallu remonter la Saône et récupérer (avec nos bergers et bergères chargés de nous guider depuis le départ) , le plus possible de lumignons afin de limiter une éventuelle pollution.
Puis direction la Confluence et arrivée au club du CKLOM, où un vin chaud, le camembert et le saucisson nous attendaient !
Ce n’est qu’après minuit (le temps de faire la navette retour et de décharger les bateaux à Décines) que le marchand de sable est passé ! Merci à tous les organisateurs et bravo pour la bonne collaboration entre les différents acteurs de cet évènement.
Super soirée, super ambiance, et des lumières plein les yeux !
Le barrage de Grangent est une retenue d’eau créée artificiellement sur la Loire ; le lac baigne le port de plaisance de Saint-Victor-sur-Loire, et s’étend sur 21 km depuis Aurec-sur-Loire (Haute-Loire) en amont, jusqu’au barrage en aval. Deux châteaux se situent dans ses environs, tous deux proches du barrage : le château de Grangent sur une île du lac, et le château d’Essalois qui surplombe le lac depuis une colline. La rive droite du lac est protégé par la Réserve naturelle régionale Saint-Étienne – Gorges de la Loire.
Nous étions 6 kayakistes motivés pour cette sortie hivernale, malgré une météo plutôt maussade, et une température aux alentours de 3 degrés. Heureusement tout le monde est bien équipé : combis intégrales, bonnets, manchons et chaussettes néoprènes ! Sans compter les thermos de café et de thé bien chauds !
Départ du club à 9h15, 1h 15 de route et embarquement à 11h15 à la base nautique de St Victor (commune de Saint Etienne) pour une navigation facile, d’une vingtaine de kilomètres. Direction le nord, à la découverte de l’ile de Grangent et de son château, que nous contournons, jusqu’au barrage. Puis, nous remontons la Loire au nord, jusqu’au pont du Pertuiset. Pique nique rive gauche, avec un timide soleil qui nous réchauffe les os. Jolis paysages, légèrement enneigés, couleurs automnales et grand calme… Les yachts et autres scooter attendent les beaux jours pour sortir et cela nous convient bien ! Le niveau d’eau est toutefois très bas (-5m environ) laissant apparaître d’anciens ponts et autres constructions, habituellement immergés.
Dommage que nos amis du CKLOM aient renoncé à cette ballade, nous espérons que d’autres occasions se présenteront pour naviguer ensemble. Retour au club vers 17h30 fourbus, un peu frigorifiés mais contents ! A quand la prochaine nav hivernale, on aime ça !
Après des semaines d’attente fébrile, les aventuriers du CKTSV et du CKDM se sont retrouvés le 9 novembre pour LA descente des gorges, en marge du 35e Marathon International des Gorges de l’Ardèche. Une journée placée sous le signe de la parité sans mixité (dans le camion) et de la relativité spatio-temporelle (des personnes et objets).
Avec, dans les rôles principaux : Christelle, Jérôme, Jacques, Mélanie, David, Sara, Damien, Agathe, le maillot à fleurs de Sara Conducteurs : Jacques, David, co-pilotes : David, Christelle, Damien Figurants : les 900 kayakistes du marathon, 2 goëlands, les serveurs de la buvette, le vendeur de Kayakomania, Special guest : le soleil. Bains : 0 Pertes : 0. L’agitation était à son comble chez les kayakistes intrépides pendant les jours précédant la sortie après une première annonce, puis un 2e appel à participants la veille. A 22h30, les derniers participants ont confirmé leur présence (mieux vaut tard…) et il a été convenu de se retrouver au CKDM à 7h15 pour un départ à 7h30 (ou presque), avec un passage à la mystérieuse sortie 12 pour retrouver Christelle. Après discussion, il a été décidé de prendre des kayaks de mer pour aller plus vite dans les passages plats avec moins de courant. Les 8 kayaks ont été chargés sur la remorque efficacement (si, si) avec tout le reste du matériel (certains n’étant venus qu’avec 1 maillot à fleur, il a fallu compléter le kit) et le convoi est parti vers 7h45 pour la fameuse rivière, avec énergie et bonne humeur, redoublées par la distribution de chouquettes de l’amitié/ des coups durs. Notre premier conducteur s’est montré d’une amabilité hors pair avec la responsable du péage en l’attente de classification du véhicule et nous sommes arrivés dans les temps impartis à la sortie 12 (qui est apparemment une succursale officieuse du CKTSV).
Mais là est apparue la première faille spatio-temporelle : Christelle était introuvable et injoignable, malgré le relai téléphonique mis en place. Comble de malchance, il n’y avait plus de chouquettes et Jérôme a fumé au moins une cartouche de cigarettes en partant à la recherche de notre organisatrice perdue dans la brume et la fraîcheur du matin. Après une série d’appels, plusieurs d’entre nous sont sortis du camion par solidarité avec Jérôme quand soudain Christelle est apparue dans le rétroviseur, courant avec ses sacs à chaque bras, poursuivie par Jérôme. Lisant un livre pour patienter, elle n’avait tout simplement pas vu le camion et ses 8 bateaux… L’équipe au complet est donc repartie joyeusement pour les Gorges. Nous n’avons pas manqué en chemin d’admirer les champs de lavande typiques de la région et ses paysages verdoyants d’automne. Après une discussion sur les ponts de la région, il a été décidé de se mettre à l’eau après Vallon Pont d’Arc, en dessous d’une glissière. Nous avons pu garer le camion facilement alors que les compétiteurs s’échauffaient sans rigoler. Pour ne pas leur faire de l’ombre, nous avons commencé l’installation doucement avec une pause casse-croûte et potins, en ayant décidé de nous arrêter pendant la descente pour pique-niquer. Après une brève explication sur les drossages, nous nous sommes lancés à l’eau sur le coup de 11h30, avec une température fort clémente et un soleil vivifiant. Ici s’arrête la partie commune du compte-rendu, donc je vous invite à interroger l’autre moitié du groupe pour connaître leur expérience de la journée.
Après au moins 15 min de randonnée, le groupe s’est scindé en 2, avec dans le peloton de tête la majorité du groupe, et en voiture-balai Jacques et Jérôme, gentils accompagnateurs d’Agathe, perdue dans une autre faille-temporelle (sans doute le décalage horaire depuis les vacances, ces enseignants…). Les 900 compétiteurs du marathon étant partis avant nous, nous avons pu bénéficier du magnifique paysage, presque en solitaires (si l’on excepte les quelques autres kayakistes en vadrouille, les jeunes en sortie escalade/ grottes, qui n’ont pas manqué de nous encourager à grands renforts de « il y a un rapide, vous allez tous vous renverser ! » et quelques goëlands).
Le niveau d’eau étant relativement élevé, les passages de rapides n’ont pas vraiment posé de problème, les contres si, en revanche (surtout qu’ils s’attaquent systématiquement aux mêmes personnes, les fourbes !). Tout le monde a donc pu s’entraîner à travailler ses bordures et ses passages de rapides « à moins d’1m de la falaise, on ne la joue pas mi-molle ! ». La descente n’étant pas trop éprouvante (même si Agathe était déjà en PLS depuis longtemps), le groupe a continué sans pause pique-nique mais avec des micro-pauses, pour pouvoir rentrer avant la tombée de la nuit. Chacun a pu admirer la beauté des paysages et les grottes inexplorées en bord de rivière, avec leurs graffitis si typiques du 20e siècle.
Les deux demi-groupes ont enfin débarqué près d’un parking humblement et loin des projecteurs, avec en arrière-plan l’annonce podium du marathon. Il faut souligner qu’il y a eu moins de 30 min d’écart entre les deux parties du groupe et aucune perte ni bain. Jacques s’est empressé d’enfiler sa tenue de combat pour faire la navette, ce qui s’est révélé être très efficace puisqu’il a été pris en covoiturage par un confrère suisse moins d’un quart d’heure après le début de sa quête. Jérôme a pendant ce temps entamé la sienne puisque ses chaussures étaient parties faire un tour dans le triangle des Bermudes ardéchois. Après un bref ravitaillement, un relai informel s’est mis en place pour garder les kayaks et permettre à tous d’aller visiter les stands et la buvette du marathon. Les filles ont donc pu mettre en œuvre leur stratégie bière/ soldes, qui s’est révélée imparable puisque Mélanie a pu réaliser son rêve : acheter le même casque bleu que celui de Jérôme. Nous en avons profité pour bloquer la voie en nous faisant offrir l’apéro par le vendeur. Jacques est alors revenu avec le camion pour rétablir l’ordre sur la voie publique (et il était temps puisque tous les stands fermaient et nos bateaux commençaient à se sentir seuls). Malgré le terrain difficile, les kayaks ont été chargés tout aussi efficacement et nous avons pu fêter les retrouvailles avec les chaussures de Jérôme autour d’un merveilleux gâteau de Jacques (bien qu’il ne soit pas au yaourt). La dextérité du conducteur nous a permis de déposer Christelle à la fameuse sortie 12, et une proposition a été lancée pour y laisser un camion et des kayaks pour la prochaine sortie.
De retour au club, après un ballet de sacs disparus et retrouvés (quelle idée d’avoir les mêmes sacs, rien de mieux pour embarquer discrètement le portefeuille de quelqu’un d’autre), un dernier sac s’est trouvé en détresse (peut-être avait-il oublié de descendre à la sortie 12?). Bilan : une sortie au top, heureusement que le trajet m’a permis d’apprendre le nom de mes coéquipiers, que je n’ai pas vus sur l’eau. Promis, je m’entraîne dès demain pour le 36e marathon off ! CR rédigé par Agathe
En ce tout début d’automne, navigation sur le Lac de Monteynard (Barrage de retenue sur le Drac au Sud de Grenoble).
Départ du club à Décines vers 9h le samedi matin : six membres du club : David, Claude, Nadia, Anne Lise, Pierre, Fred. En route donc pour le Sud direction Grenoble et cette belle région du Trièves. Autoroute tout d’abord jusqu’au péage de Voreppe, puis voie rapide de contournement direction Sisteron, Luce la Croix Haute, Monestier de Clermont. La départementale D75 nous conduit après le tunnel de Varces juste avant Vif que nous traversons. Montée ensuite direction Monestier ; on quitte la départementale 75 par la gauche après 10 kilometres environ. Direction Treffort ou nous avons réservé au Camping de la Plage pour une nuit.
Samedi On s’installe, on se restaure, on s’équipe et vers 14h nous voilà en train de descendre avec courage… nos embarcations jusqu’au bord d’un superbe plan d’eau pas complétement rempli (déficit de précipitations, changement climatique ? )Niveau à moins huit mètres du maxi habituel constaté par les traces sur les rochers du bord.)
Cap donc sur le barrage lui-même que nous approcherons dans
les limites autorisées par les panneaux.
L’automne n’est pas encore très coloré … ce sera pour un peu plus tard.Tout au long de notre trajet nous croisons sous le vent divers navigateurs : véliplanchiste au long cours, surfeurs en tout genre (foil, wake boarders, paddle), kayaks, voiliers. Pas de problème pour personne le vent est modéré. Le retour se fait vers 18h avec pour chacun
l’espoir d’une encore plus belle journée le lendemain.
Avant la nuit certains partent à la recherche et trouvent un
meilleur spot d’embarquement pour le dimanche matin. (On a constaté hier que la
marée était très basse !!)
Dimanche matin. Après une nuit tranquille quoique à peine fraîche on se dirige vers l’embarcadère de Treffort comme les grands…on n ‘est pas les seuls …. Ni les plus rapides…. On se faufile entre les kites et autres bolides en direction du Sud. Plus avant nous nous glisserons sous la passerelle himalayenne de l’Ebron après avoir longé des falaises abruptes, variations de schistes noirs ou de calcaires dorés d’où surgissent ruisseaux et cascades, merveilles accessibles seulement aux happy few. (Nous entre autres !). Ensuite la recherche d ‘une plage ombragée accessible et de sable fin si possible. Pas la peine !! on va se contenter d’une pente caillouteuse et abrupte pour déguster beaufort, tomates, chips et autres délicatesses.
Deux petits bains …., un moment de repos, et nous voilà
repartis à la découverte de l’autre bras, celui du Drac, surplombé lui aussi
d’une passerelle himalayenne.
Le site est magnifique, encaissé par endroit, très apprécié.
On aperçoit des randonneurs à pieds et le Mira bateau promenade qui propose une
découverte facile des lieux.
Nous rentrons au port de Treffort vers 18h, emportant avec
nous des images de bateaux, de voiliers, de falaises, de soleil, de ciel
bleu et d’amitié. L’Obiou du haut de ses presque 3000 mètres se colore en rose
et nous dit discrètement au revoir.
Vidéo du séjour à Molène avec Nautisme en Finistère cet été (filmé par Marc Berson) : Cliquez ici
Week-end 2-3 juillet: Traversée du lac du Bourget A/R avec la participation du club du Bourget -> Rando-Bivouac (camping): Une belle randonnée sur 2 jours sur un des plus beaux lacs de la région. Les rencontres avec le club du Bourget sont toujours conviviales et sympathiques. voir
Le week-end de la pentecôte 11-13 juin 2001 : la sortie sur le lac de Serre Ponçon – Rando-Bivouac a été annulée => Sortie journée à Miribel lundi 13 – 9h30 16h30. matin. Peu de participants mais journée agréable : kayak, cookies maison et observation des oiseaux.
Une belle sortie hivernale , pour bien démarrer l’année 2019
Participants : Brice, Véronique, Christelle, Jérôme, François, Laurence, Claude
Départ Samedi midi, pour une arrivée dans l’après midi histoire de kayaker un peu autour des gites et sur le canal avant la soirée Raclette et chansons !
Dimanche : descente du canal de Savières , puis navigation sur le lac du Bourget, en passant devant l’Abbaye d’Hautecombe, puis de la grotte Lamartine.
Hébergement en gite aux Ilots de Chanaz , dans de jolis chalets contemporains sur pilotis. Le froid que nous espérions (enfin surtout les participants à la sortie Groënland du mois de juillet) était bien au rendez-vous, les velléités de camping ont vite été dissipées sitôt la raclette terminée, le paysage n’était peut-être pas aussi féérique que nous l’espérions, mais c’était une belle sortie frisquette, en attendant des températures plus printanières !
Après avoir chargé les bateaux sur la remorque l’avant-veille, le rendez-vous est fixé au club à 6h30 pour un départ à 7h00. Après plusieurs péripéties (problème de feux stop et changement d’une roue de la remorque) nous arrivons vers midi sur le port de Pointe Rouge, à Marseille. Nous garons le camion et la remorque sur le parking du port, gratuit en ce mois de mars. Le soleil est radieux et la chaleur déjà pesante pour la saison. Après un rapide repas et le chargement de toutes nos affaires dans nos kayaks nous embarquons vers 14h30. Nous longeons la cote jusqu’à ile Maïre avec des conditions de navigation presque trop idéales, soleil, vent léger et pratiquement pas de houle. Après avoir fait le tour de l’île, nous traversons en direction de l’île de Jarre que nous longeons puis nous traversons pour rejoindre l’île de Riou. Cette magnifique île située dans le parc national des calanques est une réserve naturelle. Celle-ci est le paradis des oiseaux marins tels que le goéland et le puffin de scopoli mais également des rats noirs (très mignons mais un peu envahissants) !
Jour 2 :
Au petit matin, balade pédestre sur l’île de Riou, puis tour de l’île en kayak et nous prenons la direction de la calanque de Podestat située sur le continent. Le soleil est au rendez-vous et les conditions de navigation sont excellentes. Nous faisons une rapide pause déjeuner dans la calanque (chaleur pesante et beaucoup de monde) pour suivre la côte et visiter les nombreuses calanques telles que Cortiou, Sormiou, Morgiou (avec sa magnifique grotte marine appelée grotte bleue que nous visitons), Sugiton… jusqu’à D’En Vau où nous faisons une petite pause bien méritée.
Nous traversons la baie de Cassis pour rejoindre notre destination. Une longue journée de près de 7 heures de navigation se termine ! Un bon repas (apéro, soupe, pates aux lardons avec oignons et emmental râpé, compote, chocolat) et tout le monde au lit à 9h00 !
Jour 3 :
Levé : 6h00 ! Après une bonne nuit, nous embarquons vers 9h00. Toujours autant de soleil, pas de vent et très peu de houle. Nous longeons les falaises du Cap Canaille, paysage impressionnant et magnifique, pour passer le Cap de l’Aigle et rejoindre l’île Verte au large de la Ciotat. Très belle île où nous faisons notre pause déjeuner. Vers 14h30, nous arrivons à notre point d’arrivé situé dans la calanque du Grand Mugel à la Ciotat.
Une équipe part alors en taxi
chercher le camion resté sur le port de la Pointe Rouge à Marseille.
Vers 17h00 nous prenons la route
pour arriver au club vers 21h00 après une pause dinatoire.
Bilan de cette sortie : Soleil, chaleur, très belles conditions de navigations, près de 30 miles nautiques en 2,5 jours, paysages grandioses… A refaire !
9 participants à cette sortie : Jacques, Fred, Max, Brice, Pierre, David, Anne Lise, Claude + un invité qui nous a rejoint sur place, Henri.
Le matin à 9 h, rendez-vous au club de Décines pour un départ en direction du lac d’Aiguebelette, situé à 80 km. Une heure d’autoroute (A 43) et vers 11 h la randonnée peut commencer. Le parking et la mise à l’eau des kayaks sont très pratiques car situés tout proche du péage de l’autoroute Lyon Chambéry (Sortie n° 12 nommée Aiguebelette). Une belle journée de navigation pour ce dimanche où la température est très douce . La température de l’eau ne dépasse pas 13°, en cette saison, rien de plus normal ! Le calme des lieux est vraiment appréciable car aucune navigation bruyante à moteur thermique, n’est autorisée. Seuls les petits bateaux ou barques à petit moteur électrique, les voiliers (très rares car le vent n’est pas le point fort de ce lac) ont droit de cité. Une randonnée donc très paisible, accessible à tous, au milieu d’une nature préservée. Les couleurs de l’automne sont rehaussées par un soleil intermittent. Le repas de midi, tiré du sac (ou plus exactement du kayak) est pris sur la plage du Sougey, où une troupe de kayakiste de « Forum Kayak » nous saluent. Nous reprenons la navigation en remontant sur un peu plus d’1 km le ruisseau du Thiez, avec ses nénuphars, ses roselières, et ses branches en travers !
Retour vers 16h, sans encombres vers notre point de départ : le plan de mise à l’eau de Nances près de la maison du lac.
Le CKDM vous offre la possibilité de participer à la traversée de Lyon dans le cadre de la Lyon Kayak, dimanche 23 septembre, en kayak de mer. Belle occasion, pour ceux qui ne l’ont pas encore fait, de découvrir Lyon depuis la Saône, dans une ambiance festive garantie ! Deux parcours vous sont proposés : le Parcours Découverte, 14 km ou la Chrono, 21 km. Le départ se fera depuis Rochetaillée pour une arrivée à Confluence.
Attention, pour votre inscription, il faudra :
– Remplir le doodle du CKDM. Date limite d’inscription mardi 18 septembre minuit !
– Vous inscrire sur le site Lyon Kayak . Le tarif est de 25 euros par personne.
Nous étions 8 ce dimanche 9 septembre 2018 à 8 heures au CKDM pour une première sortie de rentrée prometteuse compte tenu du temps magnifique annoncé, Véronique, Fred, Max, David, Cyril, Pascale, Pierre et Claude notre organisatrice. Une petite heure pour charger et nous voilà en route pour le lac de Grangent. David est au volant, le GPS est silencieux, lui aussi, concentré sur sa conduite.
A 10h30 : arrivée à la base nautique de st Victor sur Loire : à cette heure, il est encore possible de se garer facilement, nous débarquons le matériel sur la droite, à côté du poste de police et c’est parti. Nous nous dirigeons vers le nord pour aller admirer le château de Grangent sous tous ses angles, au dessus, on aperçoit aussi le château d’Issalois. Le paysage est très joli, des rocs aux formes parfois étranges tombent à pic dans l’eau, les versants boisés sont encore bien verts, les ronces sont chargés de fruits encore rouges ; on ne sent les prémices de l’automne qu’ au niveau de bruyères roses qui mettent quelques tâches de couleur au milieu des feuillus et des pins maritimes.
Puis, ce tour bouclé, les estomacs commençant à crier famine, nous passons sur l’autre rive du lac à la recherche d’un coin pratique pour débarquer. Finalement, nous optons pour une sortie de petite clairière certainement accessible par la route car des familles sont déjà installées à différents endroits. Pique nique ponctué par un café et un délicieux gâteau de Savoie préparé par Pierre. Claude et Pascale enfilent le maillot de bain pour une trempette dans une eau à 20° certes moins transparente que la grande bleue mais ça fait du bien, il commence à faire chaud.
Enfin, avant de rembarquer, nous montons voir la petite chapelle à 100 mètres au dessus, malheureusement, elle est fermée. L’après midi, nous remontons la Loire très large à cet endroit, jusqu’au pont du Pertuiset, sur la commune d’Unieux. Le coin pourrait être relativement sauvage mais c’est le paradis des jets skis et du ski nautique qui font des allers-retours et nous cassent les oreilles.
On est presque soulagé de revenir dans la zone plus tranquille de la plage de st Victor bondée à cette heure tout comme le parking. IL est 17 heures, Claude nous annonce que nous venons de terminer nos 21 km de navigation
Récapitulatif :
Milieu : lac, aucune difficulté de navigation (si ce n’est la présence de bateaux à moteur et jets ski)
Distance totale de navigation : boucle de 21 km / 4 h de navigation
Embarquement : Club Nautique de Saint-Victor su Loire (Saint-Étienne 42), très accessible
Itinéraire : tour du château de Grangent jusqu’au barrage, puis remontée de la Loire jusqu’au Pont du Pertuiset (Unieux) Pique nique sur la presqu’île du Châtelet (très accessible et mi ombragée).
Bateaux utilisés : kayaks de mer
Météo : très beau temps, chaud
Distance depuis le CKDM : 180 km aller/retour – Retour Décines vers 19h
8 participants
Coût de la sortie : 7€20 / personne